Da Ocean Press
"Rugy canaglia, la pagherai." Il messaggio appare
in lettere maiuscole rosse sulla facciata posteriore dell'edificio che ospita
l'appartamento affittato da François de Rugy, distretto di Petit-Chantilly a
Orvault. È stato scoperto questo giovedì mattina dai vicini dell'ex ministro.
La scritta è accompagnata da una falce e un martello e le
iniziali PCM. In una e-mail inviata allo staff editoriale di Presse Océan, il
Partito Comunista Maoista afferma di reclamare questo atto: "Parassiti
come De Rugy che divorano aragoste, vivono nel lusso e approfittano degli
alloggi sociali grazie ai soldi rubati ai lavoratori devono essere denunciati e
combattuti!", afferma la dichiarazione in riferimento ai guai del deputato
accusato di organizzare cene sfarzose mentre era presidente dell'Assemblea nazionale,
di essersi impegnato in lavori costosi nella sua residenza ufficiale del
Ministero dell'Ecologia o approfittare di un appartamento con affitto
preferenziale a Orvault.
Rivelazioni a cascata che hanno spinto François de Rugy a
dimettersi martedì.
Questo giovedì pomeriggio, a Petit-Chantilly, una pattuglia
della polizia accompagnata da un tecnico ha realizzato i rilievi della polizia
tecnica e scientifica.
In passato, la residenza a Nantes del deputato di
Loire-Atlantique è stata danneggiata diverse volte e la sua seconda casa
sull'isola di Ouessant è stata obbiettivo di slogan anti-governativi a
dicembre.
Tiré de Presse Océan
« De Rugy escroc on te fera payer ». Le message s’affiche en lettres capitales rouges sur la façade
arrière de l’immeuble abritant l’appartement loué par François de Rugy, quartier du Petit-Chantilly à Orvault. Il a été découvert ce jeudi matin par les voisins de l’ex-ministre.
Le tag est accompagné d’une faucille et d’un marteau et des initiales PCM. Dans un courriel envoyé à la rédaction de Presse Océan, le Parti communiste maoïste dit revendiquer cet acte : « Les parasites comme De Rugy qui se goinfrent de homard, vivent dans le luxe et profitent de logements sociaux grâce à l’argent volé aux travailleurs doivent être dénoncés et combattus ! », affirme le communiqué en référence aux déboires du député accusé d’organiser des dîners fastueux alors qu’il était président de l’Assemblée nationale, d’avoir engagé de coûteux travaux dans son logement de fonction du ministère de l’Écologie ou encore de profiter d’un appartement à loyer préférentiel à Orvault.
Des révélations en cascade qui ont poussé François de Rugy à présenter sa démission, mardi.
Ce jeudi midi, au Petit-Chantilly, une patrouille de police accompagnée d’un technicien a réalisé les constatations de police technique et scientifique.
Par le passé, la permanence nantaise du député de Loire-Atlantique a plusieurs fois fait l’objet de dégradations et sa résidence secondaire sur l’île d’Ouessant taguée de slogans anti-gouvernementaux en décembre.
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