Beyrouth : les responsables sont les impérialistes et leurs laquais !
la cause du peuple
Au Liban a eu lieu, ce 4 août, une grande catastrophe: 2750 tonnes
de nitrate d’amonium, stockées sans sécurité depuis des années, ont
explosé, rasant le port de la ville, poumon économique du pays.
L’explosion a fait, probablement, des centaines de morts et des dizaines
de milliers de blessés.
L’histoire de ce stock est représentatif de l’impérialisme : un oligarque russe, déclaré fiscalement à Chypre, embarque, sous pavillon de complaisance Moldave, les 2750 tonnes explosives, vers le Mozambique. Dix marins russes et ukrainiens sont abandonnés par l’oligarque lorsque les autorités arrêtent le bateau à Beyrouth, ce dernier ne respectant aucune norme de sécurité ni droit du travail. Les marins se retrouvent bloqués un an sans pouvoir mettre le pied à terre, à devoir gérer un stock immense et ultra-dangereux.
Evidemment, personne ne veut payer pour évacuer une véritable bombe capable de raser la moitié de la ville. L’histoire démarre en 2013. Cela fait plus de 6 ans que le stock n’a pas bougé.
Le Liban vit, en tant que pays dominé, des importations. L’impérialisme ne produit, ici, rien, ou si peu (il y a un peu d’industrie exportatrice). Le pays est totalement soumis aux capitaux étrangers et en particulier Français. impérialisme fait du Liban une base arrière dans les conflits géopolitiques du moyen-orient. C’est un pays dont les frontières sont crées de toute pièce lors de l’accord de San Remo, comme mandat Français. Le Liban est particulièrement fragile et exposé aux crises économiques.
Cela développe une classe bureaucratique, c’est-à-dire une bourgeoisie locale liée à l’impérialisme et fusionnée à l’Etat, particulièrement parasitaire et corrompue, ce qui a déclenché une importante vague de révoltes en 2019 qui ont continué jusqu’aujourd’hui. C’est cette classe bureaucratique corrompue qui a refusé de prendre en compte la sécurité des habitants et habitantes de Beyrouth, qui a refusé de protéger l’artère économique la plus importante du pays.
L’impérialisme pille, empêche le développement des nations opprimés, achète des laquais. C’est, comme toujours, l’impérialisme qui est responsable de la situation catastrophique du Liban. Ce sont les impérialistes qui ont importé la marchandise sans sécurité, abandonnant à leur sort les travailleurs et ce sont les bureaucrates compradores qui ont refusé d’agir. Les masses en ont payé le prix.
L’histoire de ce stock est représentatif de l’impérialisme : un oligarque russe, déclaré fiscalement à Chypre, embarque, sous pavillon de complaisance Moldave, les 2750 tonnes explosives, vers le Mozambique. Dix marins russes et ukrainiens sont abandonnés par l’oligarque lorsque les autorités arrêtent le bateau à Beyrouth, ce dernier ne respectant aucune norme de sécurité ni droit du travail. Les marins se retrouvent bloqués un an sans pouvoir mettre le pied à terre, à devoir gérer un stock immense et ultra-dangereux.
Evidemment, personne ne veut payer pour évacuer une véritable bombe capable de raser la moitié de la ville. L’histoire démarre en 2013. Cela fait plus de 6 ans que le stock n’a pas bougé.
Le Liban vit, en tant que pays dominé, des importations. L’impérialisme ne produit, ici, rien, ou si peu (il y a un peu d’industrie exportatrice). Le pays est totalement soumis aux capitaux étrangers et en particulier Français. impérialisme fait du Liban une base arrière dans les conflits géopolitiques du moyen-orient. C’est un pays dont les frontières sont crées de toute pièce lors de l’accord de San Remo, comme mandat Français. Le Liban est particulièrement fragile et exposé aux crises économiques.
Cela développe une classe bureaucratique, c’est-à-dire une bourgeoisie locale liée à l’impérialisme et fusionnée à l’Etat, particulièrement parasitaire et corrompue, ce qui a déclenché une importante vague de révoltes en 2019 qui ont continué jusqu’aujourd’hui. C’est cette classe bureaucratique corrompue qui a refusé de prendre en compte la sécurité des habitants et habitantes de Beyrouth, qui a refusé de protéger l’artère économique la plus importante du pays.
L’impérialisme pille, empêche le développement des nations opprimés, achète des laquais. C’est, comme toujours, l’impérialisme qui est responsable de la situation catastrophique du Liban. Ce sont les impérialistes qui ont importé la marchandise sans sécurité, abandonnant à leur sort les travailleurs et ce sont les bureaucrates compradores qui ont refusé d’agir. Les masses en ont payé le prix.
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