domenica 3 marzo 2019

pc 3 marzo - Algeria - Buteflika e il suo regime decisi a resistere al movimento di massa con la repressione e la dittatura militare sostenuta dall'imperialismo





M. Bouteflika, qui célèbre ses 82 ans ce samedi. Hospitalisé en Suisse depuis six jours, officiellement pour « des examens médicaux périodiques », le retour en Algérie du chef de l’Etat n’a toujours pas été annoncé.
Toute la semaine, le camp présidentiel a réaffirmé que la contestation n’empêcherait pas le scrutin de se tenir dans les délais et que le dossier de candidature du chef de l’Etat serait remis dimanche au Conseil constitutionnel. Aucune disposition légale ne semble en effet obliger un candidat à se présenter en personne au Conseil constitutionnel pour y déposer son dossier.
 Vendredi, plusieurs centaines de milliers de personnes ont manifesté dans plusieurs villes d’Algérie contre une nouvelle candidature du président. Pour cette seule journée de manifestation, 183 personnes ont été blessées, selon l’agence de presse officielle APS, 

Il PT partito dei lavoratori rinuncia a presentarsi alle elezioni
Ces manifestations d’ampleur bouleversent aussi l’échiquier politique algérien, alors que l’opposition peine à s’organiser. Pour l’heure, seuls quatre petits candidats ont déposé leur dossier de candidature, tandis que trois figures de l’opposition semblent tergiverser et que le Parti des Travailleurs (PT), petite formation d’extrême-gauche, a renoncé, en raison de la contestation, à présenter un candidat pour la première fois depuis 2004.
« A l’exception de deux abstentions, tous les membres du Comité central ont voté pour la non-participation » à la présidentielle du 18 avril, a déclaré Ramdane-Youssef Tazibt, député et membre du bureau politique du PT :
« Le parti se devait de prendre en compte le processus révolutionnaire en cours en Algérie. Des millions d’Algériens réclament le départ du système et cette élection présidentielle ne peut pas répondre à cette aspiration réelle au changement. (…) Si le calendrier (électoral) est maintenu, le pays court de gros risques. On ne peut pas participer à quelque chose qui risque de plonger le pays dans l’irréparable. »

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