Ma le forze opportuniste francesi contano ancora e sempre sulla CGT come vettore della continuità e radicalizzazione del movimento. Sono come pulci sulle spalle di un elefante che gridano 'la guerra non è finita', ma si sottraggono ai compiti propri di organizzare la guerra!
« C’est une illusion de calme, la colère est immense », titre le journal Le Monde après la manifestation du 28 juin, reprenant les paroles d’un manifestant.
Presque
cinq mois après le début du mouvement, les manifestations se
poursuivent à une échelle certes plus réduite, mais avec la même
détermination - et il y aura encore du monde dans les rues le 5 juillet
!. Les mots d’ordre se radicalisent, visent désormais spécifiquement le
PS, Marisol Touraine vient encore d’en faire les frais à Carhaix lors de la visite de l’hopital local
: « P comme pourri, S comme salaud, à bas, à bas, le Parti Socialo »
scande un manifestant, lui faisant tourner les talons. Dans les manifs,
le mot d’ordre « Tout le monde déteste le PS ! » a également un franc
succès…
Aujourd’hui,
la mobilisation faiblit, mais la détermination politique grandit parmi
le « noyau dur » qui reste sur le terrain. Les débats sont nombreux (et
vifs !) sur le « Monde de la loi Travail », sur les perpesctives, sur
les élections de 2017… On est loin du découragement de l’après 2010, les
leçons en sont tirées !
Nessun commento:
Posta un commento