venerdì 14 aprile 2023

pc 14 aprile - Francia in lotta - la Corte dà ragione a Macron - ribellione in piazza a Parigi e in tutta la Francia

Retraites : ce n'est pas fini ! « L’intersyndicale soutient les actions et grèves engagées et les initiatives intersyndicales de proximité qui seront décidées localement. »

 le Conseil constitutionnel a validé en grande partie la réforme des retraites, des manifestations se sont formées dans plusieurs villes France, dont Nantes, Lyon, Toulouse et Marseille.

A Lille, un cortège s’est formé place de la République avant de sillonner les rues. Selon La Voix du Nord, environ cinq cents manifestants défilent actuellement rue Solférino. Des rassemblements étaient aussi en cours à Vannes, à Lorient, à Pontivy, à Ploërmel et au Palais, selon Ouest-France.

Dans l’Est, une retraite aux flambeaux est organisée vendredi soir à Troyes, rapporte L’Est éclair, tandis que des centaines de manifestants défilent dans les rues de Strasbourg et de Mulhouse. Selon Dernières nouvelles d’Alsace, ils étaient une centaine de manifestants à Strasbourg, une quarantaine à Mulhouse.

A Lyon, des rassemblements sont émaillés d’affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre, selon Actu Lyon, qui fait état de jets de gaz lacrymogène dans le 1er arrondissement. A Louhans (Saône-et-Loire), une vingtaine de manifestants se sont placés, durant plus d’une heure, sur les passages piétons afin de ralentir la circulation, rapporte le Journal de Saône-et-Loire.

Dans le Sud, à Toulon, une manifestation, à l’appel de l’intersyndicale varoise, devait relier la place de la Liberté à celle des Droits de l’homme, selon La Marseillaise. A Avignon, le rassemblement s’éparpille dans les rues.

A Marseille : « Maintenant, il faut monter à Paris et tout casser »

A Marseille, quelques centaines de manifestants se sont réunis devant la préfecture des Bouches-du-Rhône à partir de 18 heures, face à un important dispositif de sécurité. La pluie s’est invitée au moment où le Conseil constitutionnel a fait connaître ses décisions, douchant encore un peu plus les rares espoirs des opposants à la réforme. « Je n’attendais pas grand-chose de la bande à Fabius, mais je me disais qu’ils auraient un minimum de jugeote pour donner de l’air au mouvement social. Là, c’est de l’essence qu’ils jettent », regrette Franck Bergamini, secrétaire départemental Force ouvrière (FO).

« Ce qui est le plus scandaleux, c’est qu’ils retoquent aussi le RIP. Le référendum d’initiative partagée aurait permis à tout le monde de sortir la tête haute, y compris Emmanuel Macron », s’agace Daniel Petrucci, président régional de la CFE-CGC en Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui s’inquiète des « colères qui vont naître dans les jours qui viennent ». «








Partout où on le peut, il faut continuer nos actions »
, souhaite Olivier Mateu, secrétaire départemental de la CGT.

Ces discours n’ont pas calmé la frustration des manifestants. « Maintenant, il faut monter à Paris et tout casser », gronde un ouvrier de la métallurgie, debout depuis 4 heures pour bloquer la marina des Jeux olympiques.

Après une série de prises de parole des représentants syndicaux, un cortège s’est formé et a commencé une déambulation dans le centre de Marseille.

Nessun commento:

Posta un commento