Avevano sequestrato due dirigenti di fabbrica il 6-7 gennaio 2014
condannati a 9 mesi di prigione
Nous le répétons encore une fois, les ouvrières et ouvriers que l’État proclame « violents » ont raison de se révolter ! La violence, l’État et les patrons n’hésitent pas à l’utiliser, et ça sur une base quotidienne. N’est ce pas violent de se voir licencier ? De risquer de ne plus pouvoir payer son crédit ? De tomber dans la dépression ? De divorcer ? D’être poussé au suicide ? Sans compter les maladies professionnelles et l’usure quotidienne du corps quand on est à la production ou sur les chantiers.
A bas la justice bourgeoise !
Vive la lutte de la classe ouvrière !
Ni l’État, ni la bourgeoisie et ses chiens de garde ne nous feront baisser la tête !
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