Da un lato addomesticando i sindacati protagonisti con l'Intersindacale delle lotte attuali, dall'altro con la repressione di massa dei 'groupuscules violents'
Anche allora De Gaulle disse "il sont des groupuscules" e il movimento operai-studenti rispose "nous sommes tous des groupuscules".
L'intersindacale annuncia una nuova giornata di lotta ma la colloca molto molto distante e la riempie con una impotente pratica di pressione verso i parlamentari, preparandosi ad abbandonare le piazze e soprattutto il brodo di coltura dello scontro di piazza
1 -Retraites : "toujours unis", les syndicats annoncent une 14e journée de mobilisation le 6 juin
"L'intersyndicale appelle à multiplier les initiatives avec notamment une nouvelle journée d'action commune, de grèves et de manifestations le 6 juin prochain permettant à l'ensemble des salariés de se faire entendre des parlementaires", écrit-elle dans son communiqué. "Nous appelons unitairement nos organisations à aller rencontrer les députés partout pour les appeler à voter cette proposition de loi", ajoute-t-elle, se réjouissant de la discussion à l'Assemblée de cette "proposition de loi [qui] permettra pour la première fois à la représentation nationale de se prononcer par un vote sur la réforme des retraites".
Ma la risposta viene proprio da quel parlamento a cui l'Intersindacale vuole rivolgersi
Violences dans les manifestations : l’Assemblée nationale crée une commission d’enquête sur les groupuscules violents
Approuvée par 204 voix contre 47, cette commission va plancher sur les incidents survenus entre le 16 mars et le 3 mai 2023. Des députés « insoumis », écologistes et communistes ont accusé la majorité de vouloir « criminaliser les oppositions ».
L’Assemblée nationale a approuvé, mercredi 10 janvier au soir, la création d’une commission d’enquête demandée par la majorité présidentielle sur les « groupuscules, auteurs de violences à l’occasion de manifestations », comme celles de Sainte-Soline ou du 1er-Mai, sous les protestations des députés La France insoumise (LFI), communistes et écologistes.
Cette commission d’enquête parlementaire, approuvée par 204 voix contre 47, entend plancher sur « la structuration, le financement, les moyens et les modalités d’action des groupuscules auteurs de violences » durant des manifestations et rassemblements survenus « entre le 16 mars et le 3 mai 2023 ».
Le 16 mars est le jour du déclenchement par le gouvernement de l’article 49.3 de la Constitution pour faire passer sans vote la réforme des retraites à l’Assemblée nationale, suscitant des mobilisations et des heurts. Les délais choisis visent aussi à examiner les affrontements entre des gendarmes et des opposants aux mégabassines, des retenues d’eau, le 25 mars à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres. Concernée également : la manifestation du 1er-Mai, marquée par des violences, avec 540 personnes interpellées en France dont 305 à Paris, selon le ministère de l’intérieur.
Manifestants « mutilés »
Dans une ambiance houleuse, députés « insoumis », communistes et écologistes ont reproché à la majorité présidentielle de vouloir « criminaliser les oppositions » dans cette commission d’enquête et de faire « diversion » face à la contestation de la réforme des retraites.
Son collègue macroniste (Renaissance) Florent Boudié (Gironde), rapporteur, a expliqué viser dans cette commission d’enquête les « groupuscules » qui viennent avec des « mortiers d’artifice, des frondes à billes de plomb » ou des « cocktails Molotov », afin d’« attenter à la vie des forces de l’ordre ».
Le socialiste Roger Vicot (Nord) a condamné toutes « les violences d’où qu’elles viennent, de l’extrême droite, de l’extrême gauche » et « parfois des policiers », en jugeant « légitime » et « démocratique » cette commission d’enquête.
A l’extrême droite, Julien Odoul (Yonne) a soutenu la création de la commission, mais reproche au camp présidentiel de ne pas clairement mentionner les « milices d’extrême gauche, antifas, black blocs, anarchistes, écologistes extrémistes » qui « gangrènent les mouvements sociaux depuis des années », estime-t-il.
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