venerdì 7 novembre 2014
pc 7 novembre - Napoli in lotta contro il governo Renzi a Bagnoli, corteo, cariche, nuovo corteo..poi assemblea per il 14 novembre
#napoli #7N siamo migliaia stamattina a sfilare per le strade di Fuorigrotta e Bagnoli. #renziscappa
mentre noi, giorno dopo giorno, nelle scuole, nelle università, sui
nostri territori e sui posti di lavoro, proviamo a costruire
un'opposizione di classe a questo governo e ai suoi provvedimenti.
Qualcosa che dica forte e chiaro che non ci stiamo a farci sfruttare, a
contrattare al ribasso i nostri diritti, a barattare la nostra dignità
per il profitto di qualcun altro...
La polizia schierata davanti Città della Scienza carica il corteo con camionette e lacrimogeni!
Dopo le cariche e i lacrimogeni il corteo si ricompatta e torna per le strade di Bagnoli, per gridare a Governo, polizia e padroni che non ci fermeranno la loro violenza brutale né la loro repressione.
Continueremo ad opporci allo sfruttamento delle nostre vite e alla speculazione che distrugge i nostri territori, contro #jobsact, #pianoscuola e #sbloccaitalia!
#napoli #7N
La polizia schierata davanti Città della Scienza carica il corteo con camionette e lacrimogeni!
Dopo le cariche e i lacrimogeni il corteo si ricompatta e torna per le strade di Bagnoli, per gridare a Governo, polizia e padroni che non ci fermeranno la loro violenza brutale né la loro repressione.
Continueremo ad opporci allo sfruttamento delle nostre vite e alla speculazione che distrugge i nostri territori, contro #jobsact, #pianoscuola e #sbloccaitalia!
#napoli #7N
Questa
mattina si è svolta a Napoli una manifestazione a cui hanno aderito
diverse realtà di movimento, molti studenti, precari, disoccupati e
sindacati di base. Migliaia di persone sono scese in strada contro
quella che doveva essere l'ennesima visita di Renzi, che alla fine ha
deciso di disertare, evitando così l'ennesima contestazione scomoda che
lo attendeva. Le ragioni che hanno portato migliaia di persone a
scendere in piazza a Bagnoli, la recentissima approvazione del decreto
Sblocca Italia e il Jobs Act, tutte misure introdotte dal governo Renzi
in un declino sociale e economico che non accenna a risalire. Se negli
ultimi mesi sono state portate avanti molte iniziative, per ultima
l'occupazione simbolica della Città della Scienza, il corteo di oggi è
emblematico di una rabbia che non accenna a diminuire.
Il
corteo che ha attraversato Bagnoli era aperto da uno striscione che ben
identificava le parole d'ordine della manifestazione: Fermiamo lo
Sblocca Italia, cacciamo il governo Renzi". Al centro della questione
infatti, il decreto diventato ormai legge da due giorni, e che mira ad
aprire la strada alla realizzazione di opere costose quanto inutili,
come la riqualificazione dell'area di Bagnoli, creando di fatto un
commissariamento ad hoc che derogherà leggi ambientali, piani
urbanistici. E se per l'area di Bagnoli è riservato un progetto che di
fatto andrà a far sparire la spiaggia pubblica e il parco attualmente
esistente a vantaggio di una colata di cemento, la speculazione edilizia
sull'ultima grande area libera del litorale urbano di Napoli rimane a
far da padrona.
Una volta giunto
davanti all'ingresso di Città della scienza, nella parte non distrutta
dall'incendio, il corteo ha provato a entrare nonostante l'ingente
schieramento di polizia in tenuta antisommossa. Si sono così verificate
le prime cariche da parte di quest'ultima, con successivi scontri,
mentre i manifestanti non hanno accennato ad abbandonare il campo,
esprimendo la volontà di entrare all'interno dell'edificio nonostante il
fitto lancio di lacrimogeni e le ripetute cariche. Successivamente, il
corteo è proseguito per le vie di Bagnoli, per poi concludersi nel primo
pomeriggio. Per le ore 16 è prevista un'assemblea al Politecnico di
Napoli per andare a costruire le prossime mobilitazioni verso lo
sciopero sociale del 14 novembre.
pc 7 novembre - Bruxelles in rivolta operai, precari disoccupati.. un nuovo grande esempio a cui guardare
in via di traduzione
Bruxelles : Les manifestants affrontent la police
Plus de 120’000 personnes sont descendues dans
la rue lors de la première manifestation d’un automne qui s’annonce
chaud. Une telle mobilisation est exceptionnelle : pour mémoire, la
dernière mobilisation massive contre la droite avait eu lieu lors de
l’Euro-manifestation en octobre 2010 et avait réuni 100’000
manifestants. De violents affrontements ont commencé entre la Gare du
Midi et la Porte de Halles. Voitures renversées, poubelles en feu et
mobilier urbain dévasté : les travailleurs affrontent la police qui a
déjà fait plusieurs blessés en utilisant matraques, auto-pompes et gaz
lacrymogènes. Des policiers anti-émeute protègent actuellement le siège
du MR (libéral) et des manifestants occupent le siège de la FEB
(Fédération des Entreprises de Belgique). La police semble débordée.
V
Bruxelles : Premier bilan de la manifestation
Une manifestation massive a aujourd’hui défilé
dans Bruxelles. A l’appel des trois syndicats, 120’000 personnes ont
manifesté de la Gare du Nord à la Gare du Midi. A 1 kilomètre de là, le
siège du Mouvement Réformateur (libéral) était copieusement protégé par
la police anti-émeute. Un très imposant barrage a donc bloqué toute la
largeur de la petite ceinture, à l’entrée de la Porte de Halles pour
empêcher les manifestants de se diriger vers le local du MR. Plusieurs
centaines de manifestants ont donc tenu têtes aux centaines de
policiers, aux cinq auto-pompes et aux grenades lacrymogènes durant deux
heures. Le tronçon entre la Gare du Midi et la Porte de Halles a été
ravagé, plusieurs voitures incendiées, la totalité du mobilier urbain
détruit, des ballons de peintures, pavés et autres projectiles lancés
sur la ligne anti-émeute. A 16h, la police a chargé les manifestants,
avançant même dans le reste de la manifestation qui ne prenait pas part à
l’émeute. Premier bilan provisoire : 26 manifestants et 12 policiers
blessés, une dizaine de voitures incendiées, une moto de la police
incendiée et plusieurs arrestations. La police a très clairement été
débordée et a dû faire appel aux autres zones de police pour contenir
cette manifestation exceptionnellement massive : si des arrestations ont
bien eu lieu il y en a eu peu au regard des affrontements, les
manifestants ont même réussi à aller rechercher une personne qui était
tombée et que la police s’apprêtait à embarquer. Un rassemblement aussi
impressionnante n’avait pas eu lieu depuis 2001 lors des manifestations
contre la guerre en Irak. Plusieurs cadres de la FGTB ont "déploré les
incidents", rejetant la faute sur "les anarchistes".
EDIT : Il y aurait eu 30 arrestations.
EDIT : Il y aurait eu 30 arrestations.
Bruxelles : Bilan de la manifestation
La police dénombre 112 blessés dans ses rangs.
43 policiers de la zone de Bruxelles Capitale-Ixelles ont été blessés,
dont 35 inspecteurs de la direction des interventions et du maintien de
l’ordre, 6 de la direction de la recherche locale et 2 de la direction
trafic. Au moins 18 policiers subissent une incapacité de travail et une
quinzaine d’agents doivent encore faire constater leurs blessures par
un médecin. 37 policiers de la zone Midi (Anderlecht, Saint-Gilles,
Forest) ont été blessés. Plusieurs véhicules de police de cette zone ont
en outre subi des dégradations, notamment des vitres brisées et une
moto de la police a été incendiée (photo). Enfin, 19 policiers de la
zone Nord, 6 de la zone Montgomery et 2 policiers fédéraux ont également
été blessés.
Les dégâts matériels sont importants. On dénombre 11 véhicules incendiés (7 camionnettes, 4 voitures et une remorque). 62 autres ont été endommagés. Il y aurait pour un million et demi d’euros de dégats rien que pour le mobilier urbain. La police a procédé à 43 interpellations. Deux hommes soupçonnés d’avoir blessé des policiers ont été arrêtés. L’un a blessé quatre policiers et est cité en procédure accélérée. Le deuxième suspect qui a déjà des antécédents judiciaires, a quant à lui blessé cinq policiers. Il sera déféré devant le juge d’instruction dans le courant de la journée et le parquet de Bruxelles a requis un mandat d’arrêt à son encontre. La ville de Bruxelles a annoncé qu’elle portera plainte te se portera partie civile. Une procédure accélérée sera appliquée pour poursuivre les manifestants identifiés par l’étude des images des caméras.
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Les dégâts matériels sont importants. On dénombre 11 véhicules incendiés (7 camionnettes, 4 voitures et une remorque). 62 autres ont été endommagés. Il y aurait pour un million et demi d’euros de dégats rien que pour le mobilier urbain. La police a procédé à 43 interpellations. Deux hommes soupçonnés d’avoir blessé des policiers ont été arrêtés. L’un a blessé quatre policiers et est cité en procédure accélérée. Le deuxième suspect qui a déjà des antécédents judiciaires, a quant à lui blessé cinq policiers. Il sera déféré devant le juge d’instruction dans le courant de la journée et le parquet de Bruxelles a requis un mandat d’arrêt à son encontre. La ville de Bruxelles a annoncé qu’elle portera plainte te se portera partie civile. Une procédure accélérée sera appliquée pour poursuivre les manifestants identifiés par l’étude des images des caméras.
pc 7 novembre - Rivoluzione d'ottobre... oggi a Palermo
CAUSA POSSIBILE ALLERTA METEO L'INIZIATIVA PALERMITANA E' SPOSTATA PRESSO LA SEDE IN VIA G. DEL DUCA 4 (ACCANTO AI CANTIERI CULTURALI DELLA ZISA).
READING DAL "CHE FARE" DI LENIN E DAL LIBRO DI JOHN REED "I DIECI GIORNI CHE SCONVOLSERO IL MONDO", FOTO, VISIONE DI ALCUNI PASSAGGI DEL FILM "IL TRENO DI LENIN", DIBATTITO E BRINDISI
VI INVITIAMO A PARTECIPARE
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VOLANTINO DIFFUSO IN FABBRICA AI CANTIERI NAVALI
pc 7 novembre - Continua la lotta di Maurizio Alfieri contro gli abusi in carcere
da infoaut
Riceviamo e pubblichiamo questa nuova lettera di Maurizio Alfieri detenuto nel carcere di Spoleto. Maurizio ha più volte denunciato gli abusi che l'amministrazione penitenziaria riserva ai prigionieri. Per questi motivi Maurizio è stato minacciato e trasferito da alri carceri al carcere di Spoleto, nel quale la sua lotta di denuncia contro gli abusi e le brutalità ai danni dei detenuti continua.
Compagni/e ciao un abbraccio,
non ho fatto neanche un'ora di isolamento che ho visto il primo abuso e istigazione nei confronti di un detenuto extracomunitario ad autolesionarsi e vi racconto il fatto.
È arrivato verso le 10.30, lo sentivo urlare e riempire di parolacce le guardie chiedendo perchè era stato portato in isolamento, così dopo averlo fatto spogliare e lasciato nudo è andato in escandescenza e ha iniziato a rompere il plaforo con la lampadina, ha iniziato ad urlare che si sarebbe tagliato ma la guardia gli diceva che cosa aspettava a farlo, così iniziò a tagliarsi dappertutto. Vi premetto che conosco bene questo ragazzo che è stato in sezione dove ero io, è educato, rispettoso e pulito. Ho cercato di dissuaderlo dal tagliarsi perchè avrebbe fatto solo felice questi infami di Spoleto, ma lui non ha voluto sentire nessuno.
Dopo diversi tagli arrivano tutti gli agenti, compreso il vice comandante Cuomo. Gli danno i vestiti e gli promettono che lo mandano subito in infermeria per le medicazioni ma come sempre le loro promesse sono menzogne che puzzano come la merda...così dalle 11 del mattino ci si arriva alle 17 di sera e il ragazzo inizia a rompere la porta del bagno dove c'è un vetro molto duro che cede ai colpi, così tutti i vetri del diametro di 1 cm per 1 cm si trovano sul pavimento di tutta la cella, allora inizio a chiamare il brigadiere di aprirmi che avrei cercato di calmarlo. Mi aprono gli porto il tabacco con cartine e filtri, cerco di calmarlo ma lui diceva: ” Hai visto Maurizio è da stamattina che mi prendono per il culo e mi istigano”. Mentre gli sto per dire di mettersi sul letto che il pavimento era pieno di vetri e rischiava di infilzarsi un vetro nel piede, appena glielo ripete anche il brigadiere inizia ad andare su tutte le furie...così inizia a saltare con tutto il suo peso sui vetri, il sangue inizia a colare come se fosse stata versata una bottiglia da un litro sul pavimento... (ormai era fuori si senno)
In conclusione oggi giorno 18, quel povero ragazzo non si può muovere e devono portarlo in ospedale. Si è appena svegliato dai psicofarmaci che gli hanno dato (questi infami) e i primi infami sono questi pseudo dottori se così possiamo definirli, che somigliano molto alle cure di Giosef Mengele (l'angelo della morte) come veniva definito ad Auschwitz (infami come Mengele)
A Spoleto possono stare sicuri che tutte le loro infamie e abusi verranno resi pubblici, questo non è che l'inizio così dopo un anno di prese per il culo sul trasferimento vicino alla mia famiglia per tenermi buono adesso sono proprio incazzato e quello che cerco sono proprio le sezioni di isolamento così non potrete nascondere ed occultare i vostri abusi […]
Vi comunico che alle 21 gli hanno tirato fuori i vetri dai piedi però lui è in sciopero della fame perchè vuole partire da sto carcere infame. Il ragazzo si chiama Ibrahim El Almaraini, ha 26 anni. Qui a Spoleto vige il razzismo, come è accaduto poco tempo fa con quel ragazzo che durante il ramadan gli mandavano la carne cruda adesso lo hanno chiamato 5 volte per fargli ritirare la denuncia contro la direzione ma lui non ritira niente, la storia è sull'opuscolo n° 94 (OLGa ndr)
Questo è il carcere di Spoleto (e degli abusi) con la complicità del magistrato di Sorveglianza.
Compagni/e vi aggiungo questo scritto per le cose che vi ho mandato da pubblicare inerente allo sciopero che doveva esserci a Spoleto e poi non si è fatto. Siccome mi sono informato con tanti amici e ho saputo che la direzione sta provvedendo a mettere una tettoia per i familiari che arrivano a colloquio e non dovranno stare sotto la pioggia, poi il lavoro a rotazione (turn-over) già in vigore e (dovrebbero) ridare il computer che hanno tolto a tutti dopo che avevano concesso di acquistarli e ci sono altre cose richieste per fare lo sciopero che (sembra) che la direzione sia pronta ad accogliere. Per cui per correttezza nei confronti dei compagni che si sono esposti a parlare con la direzione, a parer mio non c'è stato nessun segno di resa o compromesso, quando invece molti parlano di resa. Invece l'unione ha fatto capire alla direzione che stavolta si faceva sul serio.
Qui in isolamento non è cambiato nulla, addirittura arrivano nuovi isolati e non hanno nemmeno i piatti e posate per mangiare ma ci pensiamo noi, almeno a far capire agli abitanti di Spoleto che qui non è un albergo come vuol far credere la direzione.
Poi vi informo che Stefano Marucci si trova a Livorno, lui è originario di Firenze e siccome il direttore e comandante dopo la denuncia della madre erano preoccupati, gli avevano promesso che se la ritirava lo mandavano in Toscana, Per cui, detto fatto. Per forza, hanno massacrato un ragazzo che prendeva metadone, poi la guardia dopo un certo orario non poteva aprire la cella e in più il fatto della lite con la guardia era già successo e invece loro sono saliti e lo hanno massacrato rompendogli costole e la testa in più parti con le chiavi, oltre a renderlo irriconoscibile in viso...
Per cui queste merde, quando vogliono le strade per trasferire vicino a casa le trovano. Ecco perchè io non mi farò più prendere in giro da questa feccia. Ho aspettato un anno, dopo varie promesse a me e al mio avvocato, adesso sarò la loro ombra e tutti gli abusi di qua li renderò pubblici e me ne fotto dell'isolamento e le corna di questi cornuti.
Aggiungete questo scritto e quello dove vi informo del mio isolamento e di preparare attraverso il coordinamento dei detenuti uno sciopero nazionale da concordare con tutti i collettivi che porteranno il loro appoggio dall'esterno.
Un abbraccio forte, Maurizio.
17 ottobre 2014, Maurizio Alfieri via Maiano 20 – 06049 Spoleto (Perugia)
Riceviamo e pubblichiamo questa nuova lettera di Maurizio Alfieri detenuto nel carcere di Spoleto. Maurizio ha più volte denunciato gli abusi che l'amministrazione penitenziaria riserva ai prigionieri. Per questi motivi Maurizio è stato minacciato e trasferito da alri carceri al carcere di Spoleto, nel quale la sua lotta di denuncia contro gli abusi e le brutalità ai danni dei detenuti continua.
Compagni/e ciao un abbraccio,
non ho fatto neanche un'ora di isolamento che ho visto il primo abuso e istigazione nei confronti di un detenuto extracomunitario ad autolesionarsi e vi racconto il fatto.
È arrivato verso le 10.30, lo sentivo urlare e riempire di parolacce le guardie chiedendo perchè era stato portato in isolamento, così dopo averlo fatto spogliare e lasciato nudo è andato in escandescenza e ha iniziato a rompere il plaforo con la lampadina, ha iniziato ad urlare che si sarebbe tagliato ma la guardia gli diceva che cosa aspettava a farlo, così iniziò a tagliarsi dappertutto. Vi premetto che conosco bene questo ragazzo che è stato in sezione dove ero io, è educato, rispettoso e pulito. Ho cercato di dissuaderlo dal tagliarsi perchè avrebbe fatto solo felice questi infami di Spoleto, ma lui non ha voluto sentire nessuno.
Dopo diversi tagli arrivano tutti gli agenti, compreso il vice comandante Cuomo. Gli danno i vestiti e gli promettono che lo mandano subito in infermeria per le medicazioni ma come sempre le loro promesse sono menzogne che puzzano come la merda...così dalle 11 del mattino ci si arriva alle 17 di sera e il ragazzo inizia a rompere la porta del bagno dove c'è un vetro molto duro che cede ai colpi, così tutti i vetri del diametro di 1 cm per 1 cm si trovano sul pavimento di tutta la cella, allora inizio a chiamare il brigadiere di aprirmi che avrei cercato di calmarlo. Mi aprono gli porto il tabacco con cartine e filtri, cerco di calmarlo ma lui diceva: ” Hai visto Maurizio è da stamattina che mi prendono per il culo e mi istigano”. Mentre gli sto per dire di mettersi sul letto che il pavimento era pieno di vetri e rischiava di infilzarsi un vetro nel piede, appena glielo ripete anche il brigadiere inizia ad andare su tutte le furie...così inizia a saltare con tutto il suo peso sui vetri, il sangue inizia a colare come se fosse stata versata una bottiglia da un litro sul pavimento... (ormai era fuori si senno)
In conclusione oggi giorno 18, quel povero ragazzo non si può muovere e devono portarlo in ospedale. Si è appena svegliato dai psicofarmaci che gli hanno dato (questi infami) e i primi infami sono questi pseudo dottori se così possiamo definirli, che somigliano molto alle cure di Giosef Mengele (l'angelo della morte) come veniva definito ad Auschwitz (infami come Mengele)
A Spoleto possono stare sicuri che tutte le loro infamie e abusi verranno resi pubblici, questo non è che l'inizio così dopo un anno di prese per il culo sul trasferimento vicino alla mia famiglia per tenermi buono adesso sono proprio incazzato e quello che cerco sono proprio le sezioni di isolamento così non potrete nascondere ed occultare i vostri abusi […]
Vi comunico che alle 21 gli hanno tirato fuori i vetri dai piedi però lui è in sciopero della fame perchè vuole partire da sto carcere infame. Il ragazzo si chiama Ibrahim El Almaraini, ha 26 anni. Qui a Spoleto vige il razzismo, come è accaduto poco tempo fa con quel ragazzo che durante il ramadan gli mandavano la carne cruda adesso lo hanno chiamato 5 volte per fargli ritirare la denuncia contro la direzione ma lui non ritira niente, la storia è sull'opuscolo n° 94 (OLGa ndr)
Questo è il carcere di Spoleto (e degli abusi) con la complicità del magistrato di Sorveglianza.
Compagni/e vi aggiungo questo scritto per le cose che vi ho mandato da pubblicare inerente allo sciopero che doveva esserci a Spoleto e poi non si è fatto. Siccome mi sono informato con tanti amici e ho saputo che la direzione sta provvedendo a mettere una tettoia per i familiari che arrivano a colloquio e non dovranno stare sotto la pioggia, poi il lavoro a rotazione (turn-over) già in vigore e (dovrebbero) ridare il computer che hanno tolto a tutti dopo che avevano concesso di acquistarli e ci sono altre cose richieste per fare lo sciopero che (sembra) che la direzione sia pronta ad accogliere. Per cui per correttezza nei confronti dei compagni che si sono esposti a parlare con la direzione, a parer mio non c'è stato nessun segno di resa o compromesso, quando invece molti parlano di resa. Invece l'unione ha fatto capire alla direzione che stavolta si faceva sul serio.
Qui in isolamento non è cambiato nulla, addirittura arrivano nuovi isolati e non hanno nemmeno i piatti e posate per mangiare ma ci pensiamo noi, almeno a far capire agli abitanti di Spoleto che qui non è un albergo come vuol far credere la direzione.
Poi vi informo che Stefano Marucci si trova a Livorno, lui è originario di Firenze e siccome il direttore e comandante dopo la denuncia della madre erano preoccupati, gli avevano promesso che se la ritirava lo mandavano in Toscana, Per cui, detto fatto. Per forza, hanno massacrato un ragazzo che prendeva metadone, poi la guardia dopo un certo orario non poteva aprire la cella e in più il fatto della lite con la guardia era già successo e invece loro sono saliti e lo hanno massacrato rompendogli costole e la testa in più parti con le chiavi, oltre a renderlo irriconoscibile in viso...
Per cui queste merde, quando vogliono le strade per trasferire vicino a casa le trovano. Ecco perchè io non mi farò più prendere in giro da questa feccia. Ho aspettato un anno, dopo varie promesse a me e al mio avvocato, adesso sarò la loro ombra e tutti gli abusi di qua li renderò pubblici e me ne fotto dell'isolamento e le corna di questi cornuti.
Aggiungete questo scritto e quello dove vi informo del mio isolamento e di preparare attraverso il coordinamento dei detenuti uno sciopero nazionale da concordare con tutti i collettivi che porteranno il loro appoggio dall'esterno.
Un abbraccio forte, Maurizio.
17 ottobre 2014, Maurizio Alfieri via Maiano 20 – 06049 Spoleto (Perugia)
pc 7 novembre - L'ISIS non solo è sostenuta dal regime turco... ma in Turchia l'Isis è ERDOGAN che scatena i suoi fascisti contro i kurdi
Le vicende legate alla veemente protesta delle popolazioni curde contro il sostegno più che esplicito accordato dal regime islamista turco alle milizie dello Stato Islamico sia all’interno dei confini del paese sia sul campo di battaglia di Kobane, ha riacceso in Turchia una pesante persecuzione nei confronti degli esponenti curdi che vede protagonisti gli apparati repressivi dello stato, le formazioni islamiche estremiste e gli ambienti dell’estrema destra nazionalista.
Numerosi gli episodi negli ultimi giorni di quelle che appare come una vera e propria ‘caccia al curdo’, in un crescendo che i media italiani si sono ben guardati dal riportare.
Uno riguarda il calciatore Deniz Naki (nella foto), che proprio in queste ore ha deciso di lasciare la Turchia dopo un pestaggio a sfondo razzista subito domenica scorsa ad Ankara. "Non ho nessuna intenzione di tornare" ha scritto ieri dalla Germania il giocatore, in un messaggio postato su Facebook per spiegare la sua decisione. Naki, che aveva recentemente espresso il suo sostegno ai guerriglieri e ai volontari curdi che stanno difendendo la cittadina siriana di Kobane dall'assedio dei jihadisti del Califfato, giocava nel Gencelerbirligi, una delle più importanti squadre di Ankara, che milita nella Super league, cioè la serie A del campionato turco di calcio.
Domenica scorsa, dopo averlo riconosciuto, tre uomini hanno iniziato prima a insultarlo per le sue origini curde e alevite (minoranza sciita che conta 15 milioni di membri in Turchia, considerata un corpo estraneo dagli ambienti più estremisti della maggioranza sunnita e spesso sottoposta a persecuzioni e attacchi al pari del popolo curdo). "Mi insultavano chiedendomi: 'Sei uno sporco curdo, sei Deniz Naki?' - ha spiegato il giocatore - poi hanno detto: 'Che sia maledetta Kobane, che sia maledetta Sinjar'. Ho provato a calmarli, ma all'improvviso uno di loro mi ha colpito ad un occhio, ho gli ho tirato un pugno per difendermi e sono scappato". Mentre si allontanava il giocatore è stato minacciato: "Non è stato abbastanza il primo avvertimento? Questo è il secondo e l'ultimo. Lascia il paese, questa città e questa squadra!" gli hanno urlato gli aggressori, ha raccontato il calciatore che martedì ha lasciato la Turchia.
E’ andata invece molto peggio al deputato curdo e membro dell’Assemblea dell’HDP (Partito Democratico dei Popoli) Ahmet Karataş che proprio martedì mattina è stato aggredito fisicamente e accoltellato alla gola e ad una gamba da un assalitore che è penetrato all’interno della sede provinciale di Ankara della formazione politica della sinistra curda. Mentre l’assalitore è fuggito perdendo però il suo telefono all’interno degli uffici dell’HDP, il deputato è stato portato d’urgenza all’ospedale Numune di Ankara perché le sue condizioni sono apparse subito molto gravi.
In una dichiarazione il deputato curdo Sebahat Tuncel ha addossato la responsabilità dell’aggressione al presidente turco Erdogan e al primo ministro Davutoglu che non perdono occasione per attaccare i partiti curdi. Secondo il co-portavoce del Congresso Democratico dei Popoli (HDK), Ertuğrul Kürkçü, il governo ha inasprito la situazione dall’inizio della crisi di Kobanê: dopo il recente incontro del Consiglio Nazionale di Sicurezza i militari turchi sono tornati a svolgere un ruolo più attivo, il che lascia intendere che il governo e gli apparati militari hanno lanciato un ennesimo piano ‘antiguerriglia’ diretto ad attaccare tutte le espressioni politiche della sinistra curda oltre che altre voci dissonanti della società turca. Durante la repressione delle manifestazioni popolari contro il governo, accusato di appoggiare l’Isis contro i curdi a Kobane, le forze di sicurezza turche e gruppi armati dell’estrema destra nazionalista e islamisti hanno in molti casi aperto il fuoco contro la folla, e i manifestanti morti in pochi giorni sono arrivati a più di 40.
Proseguono intanto anche le retate contro i militanti e gli attivisti curdi. Otto persone, di cui cinque minorenni, sono stati arrestati proprio perché accusati da Ankara di aver partecipato agli scontri scoppiati dopo la manifestazione del 1 novembre per Kobanê ad Amed, la principale città del Kurdistan turco (Diyarbakir). La polizia ha arrestato undici persone nel corso di una vera e propria retata e i detenuti sono poi stati rinviati davanti alla corte con richiesta di arresto per “partecipazione a manifestazioni illegali.” Solo tre minorenni sono stati rilasciati anche se sottoposti a misure cautelari. Altre cinque persone sono state arrestate a Malazgirt nel distretto di Muş per aver partecipato anche in quel caso a manifestazioni contro l’assedio di Kobane.
pc 7 novembre - Tutto ciò che è fascista è identico - leghisti- fratelli d'Italia -fiammatricolore... tutti alla fine nell'orbita e al servizio del gran capo Berlusconi, dove stanno i soldi
L'ex leader del Fonte Veneto Skinhead Piero Puschiavo, adesso transitato in Fiamma tricolore e presidente di "Progetto Nazionale", nei giorni scorsi si è recato a Milano per una serie di incontri politici. Il suo movimento - Progetto nazionale - il 18 ottobre era in piazza a Milano insieme alla Lega Nord nella manifestazione "contro l'invasione" straniera. Puschiavo, nel suo giro milanese, è stato accompagnato da un altro capo storico del neofascismo lombardo: Roberto Jonghi Lavarini. Puschiavo ha avuto incontri politici riservati con i "massimi vertici nazionali del centro-destra" scrive Jonghi Lavarini in una nota. Tradotto, significa che il fascistissimo Puschiavo ha avuto incontri nella villa di Arcore (residenza di Berlusconi), in Via Bellerio (sede nazionale della Lega) e alla Regione Lombardia (amministrata da Maroni). Pare che in questi incontri Puschiavo abbia ribadito l'autonomia e la trasversalità del suo movimento Progetto Nazionale, il pieno sostegno al sindaco di Verona Flavio Tosi, la collaborazione con la nuova Lega dei Popoli di Matteo Salvini e gli ottimi rapporti con Forza Italia. Insomma una interlocuzione a tutto campo con tutti i soggetti della destra italiana. Successivamente, Puschiavo ha incontrato altri noti esponenti della "destra milanese" come Lino Guaglianone e l'Avv. Piero Porciani, un gruppo di giornalisti ed i dirigenti locali di Progetto Nazionale, coordinati dal conte Alessandro Romei Longhena e da Mario Mazzocchi Palmieri (una leadership di lignaggio aristrocratico dunque).
Si conferma così il processo di avvicinamento di molte anime e gruppi neofascisti italiani alla nuova Lega di Matteo Salvini. Secondo Saverio Ferrari "L’elemento di forte novità consiste nell’ultima mutazione della Lega Nord che nei fatti sta sostituendo le altre destre (da Forza Italia a Fratelli d’Italia) nello storico ruolo di garanti per la galassia neofascista nei termini di coperture istituzionali, sdoganamenti e alleanze elettorali". Aveva cominciato Casa Pound sostenendo la candidatura di Borghezio alle elezioni europee. C'era poi stata una diaspora da Forza Nuova verso la Lega, soprattutto in Lombardia dove se n'e andato insieme ad altri, Marco Mantovani, storico dirigente milanese del gruppo neofascista, poi era stata la volta di Forza Nuova Bergamo dove altri fascisti se ne sono usciti guardando alla Lega. La svolta "italianista" della Lega e l'ammorbidimento delle evocazioni secessioniste padane, si sta dunque rivelando utile a questa egemonia leghista sul neofascismo italiano. Con qualche gaffe, come quella degli striscioni con contenuti in aperto contrasto - alcuni invocavano la secessione, altri l'unità della nazione - che si sono visti alla manifestazione nazileghista del 18 ottobre a Milano.
pc 7 novembre - LA UE CONTESTA GLI AIUTI DI STATO ALL'ILVA - COME VIOLAZIONE DELLE "REGOLE" TRA PADRONI SULLA CONCORRENZA
I punti del documento della Direzione generale per la concorrenza della Commissione europea indirizzati al governo italiano, riportati in questo articolo della Gazzetta del Mezzogiorno, sono significativi per vari aspetti.
Tanto per cominciare, dimostrano quello da noi subito denunciato appena era uscita la notizia dello sblocco, a favore di Ilva-Gnudi, da parte del Tribunale di Milano del milione e 200mila euro sequestrati ai Riva:
Primo, le espressione di soddisfazione fatte da varie parti erano fuori luogo, non peraltro perchè l'utilizzo effettivo di questa somma aveva davanti ancora vari ostacoli legali-burocratici, ora anche economici-politici; secondo, questi soldi erano di fatto un'aiuto all'Ilva (di cui comunque i Riva sono ancora proprietari), e nulla garantiva e garantisce che non venissero utilizzati da Gnudi per dare una boccata d'ossigeno alla normale attività produttiva dell'Ilva, ai suoi debiti, e non per risanare la fabbrica.
Inoltre il documento della Commissione dimostra che tutti i decreti fatti dai vari governi per l'Ilva sono stati, fino a quello dell'agosto scorso, solo un aiuto alla proprietà dell'Ilva, alla situazione produttiva aziendale e non certo un aiuto alla difesa della salute e del lavoro - anche questo noi come altre forze lo abbiamo denunciato più volte.
Lo Stato dando e gestendo i soldi sia quelli sequestrati, sia quelli del "prestito ponte" diventa di fatto un'azionista dell'Ilva, si sostituisce a padron Riva, invece di pretendere che "chi inquina, paghi".
Questo riguarda anche le bonifiche ambientali. Queste invece che coi soldi dei Riva, come sarebbe giusto, vengono finanziate dallo Stato che da un lato così favorisce i padroni, dall'altro avendo impiegato pochi fondi, non fa ancora le bonifiche previste e, quando sarà, le farà male.
La Commissione europea, poi, scopre ora potremmo dire "l'acqua calda", ciò che da tempo viene denunciato, vale a dire che l'Ilva, i governi con i loro commissari straordinari (prima Bondi, poi Gnudi) nulla hanno fatto per il risanamento degli impianti inquinanti e del territorio.
Detto questo, attenzione! Non è che ora la Commissione europea è improvvisamente dalla parte dei lavoratori, degli abitanti dei quartieri che chiedono il principio elementare: "chi inquina, paghi"...
La commissione europea parla in nome degli altri padroni europei dell'acciaio, e attacca lo Stato italiano perchè aiutando l'Ilva scombina le regole della concorrenza del sistema del capitale, droga la situazione dell'Ilva mettendo, quindi, in difficoltà gli altri padroni.
Infine. Che può comportare questo intervento della Ue per i lavoratori e gli abitanti di Taranto? Nulla di buono, se non ancora passi indietro, ritardi, rischi sulla difesa del lavoro e dei salari e sui tempi e modi delle bonifiche.
La sorte degli operai e della popolazione come non può essere difesa dallo Stato, nuovi padroni, e governo italiano; così non può trovare giustizia dalla Commissione europea. Nessuno può e deve alimentare illusioni.
Ilva, entro 15 giorni 5 risposte alla UE
di Mimmo Mazza
TARANTO - L’ultimatum scadrà il 20 novembre... le otto pagine inviate dalla direzione generale per la concorrenza della Commissione europea al Governo italiano lasciano intravedere foschi scenari per l’Ilva di Taranto...
(La commissione) mette in serio dubbio tutta la successione di decreti e provvedimenti che i governi Monti-Letta-Renzi hanno varato negli ultimi due anni per cercare di dare una prospettiva allo stabilimento siderurgico di Taranto, ai suoi 20mila addetti, al settore manifatturiero italiano, pur al cospetto di una perizia che ha definito quell’acciaieria fonte di malattie e morte per operai e cittadini.
Sono cinque i quesiti ai quali la Commissione Europea pretende risposte. Il primo riguarda la situazione finanziaria dell’Ilva. Il Governo Renzi aveva già scritto alla commissione, sostenendo che l’Ilva non poteva essere considerata come una impresa in difficoltà, ma da Bruxelles scrivono che i dati forniti a sostegno di tale tesi sono insufficienti e per dunque si sollecita la consegna di bilanci e documenti riguardanti gli anni 2012-2013-2014. Poi c’è il capitolo della responsabilità ambientale, sul quale la Commissione addirittura chiede una lista dettagliata di tutti i provvedimenti autorizzativi in materia ambientale violati dall’Ilva dal 1996 a oggi, alla luce del principio «chi inquina paga». La commissione chiede atti, sentenze, rinvi a giudizio e tutta la documentazione giudiziaria riguardante lo stabilimento di Taranto, chiedendo inoltre di quale connessione ci sia tra l’inquinamento contestato con sentenza della Cassazione nel 2005 e l’inquinamento attuale. Viene, poi, sollecitata copia del piano industriale dell’Ilva dopo la nomina del commissario Piero Gnudi - piano industriale in realtà ancora non redatto - e una relazione su tutte le azioni prese.
Poi vengono i nodi economici, assai complicati da sciogliere. La Commissione europea, che scrive qualche giorno prima il gip di Milano disponga il trasferimento di un miliardo e 200 milioni di euro sequestrati ai fratelli Riva per frode fiscale nel capitale sociale dell’azienda, contesta la disposizione normativa che lo permette, arrivando a sostenere che «a seguito del trasferimento delle somme, lo Stato italiano diventerà azionista di Ilva»: e quel diventerà, appunto, è stato scritto a trasferimento non ancora autorizzato. A tal proposito, Bruxelles pone due domande a dir poco imbarazzanti: «per quale motivo somme depositate presso un fondo statale e amministrate da un soggetto pubblico (Equitalia giustizia, ndr) non rappresentino risorse statali? E perché il loro trasferimento ad Ilva in ottemperanza ad un atto normativo (il decreto legge Ilva-Terra dei fuochi dell’agosto 2014, ndr) non sia imputabile allo Stato?»
Quindi c’è la questione riguardante il prestito ponte, in due tranche da 125 milioni di euro l’una, contratto dal commissario Gnudi con un pool di banche per garantire il pagamento degli stipendi e dei fornitori. La Commissione europea ritiene infatti che avendo considerato quel prestito prededucibile (ovvero a pagamento prioritario in caso di insolvenza) sia da considerare aiuto di Stato per il rischio che lo Stato ha in termine di potenziale riduzione della possibilità di soddisfacimento di eventuali crediti nei confronti dell’Ilva in caso di fallimento. E a dimostrare il coinvolgimento dello Stato nella pratica del prestito ponte, la Commissione europea cita riunioni svoltesi al ministero dello Sviluppo Economico con gli enti locali per stabilire la priorietà da dare ai pagamenti dei debiti Ilva dopo l’ottenimento dei prestiti ponte.
L’ultimo quesito riguarda l’ambiente. La Commissione europea alla luce del protocollo sottoscritto nell’estate del 2012 tra Governo e enti locali per interventi urgenti di bonifica, ambientalizzazione e riqualificazione, contesta il fatto che tale interventi, fatti per riparare i danni provocati dall’inquinamento prodotto dall’Ilva, siano finanziati dallo Stato. «La Commissione è dell’avviso - si legge nella lettera - che gli interventi di bonifica previsti dal protocollo, sebbene non effettuati sull’area dove insiste lo stabilimento dell’Ilva, sono intesi a bonificare aree adiacenti che risultano altamente inquinate direttamente a causa di Ilva».
Tanto per cominciare, dimostrano quello da noi subito denunciato appena era uscita la notizia dello sblocco, a favore di Ilva-Gnudi, da parte del Tribunale di Milano del milione e 200mila euro sequestrati ai Riva:
Primo, le espressione di soddisfazione fatte da varie parti erano fuori luogo, non peraltro perchè l'utilizzo effettivo di questa somma aveva davanti ancora vari ostacoli legali-burocratici, ora anche economici-politici; secondo, questi soldi erano di fatto un'aiuto all'Ilva (di cui comunque i Riva sono ancora proprietari), e nulla garantiva e garantisce che non venissero utilizzati da Gnudi per dare una boccata d'ossigeno alla normale attività produttiva dell'Ilva, ai suoi debiti, e non per risanare la fabbrica.
Inoltre il documento della Commissione dimostra che tutti i decreti fatti dai vari governi per l'Ilva sono stati, fino a quello dell'agosto scorso, solo un aiuto alla proprietà dell'Ilva, alla situazione produttiva aziendale e non certo un aiuto alla difesa della salute e del lavoro - anche questo noi come altre forze lo abbiamo denunciato più volte.
Lo Stato dando e gestendo i soldi sia quelli sequestrati, sia quelli del "prestito ponte" diventa di fatto un'azionista dell'Ilva, si sostituisce a padron Riva, invece di pretendere che "chi inquina, paghi".
Questo riguarda anche le bonifiche ambientali. Queste invece che coi soldi dei Riva, come sarebbe giusto, vengono finanziate dallo Stato che da un lato così favorisce i padroni, dall'altro avendo impiegato pochi fondi, non fa ancora le bonifiche previste e, quando sarà, le farà male.
La Commissione europea, poi, scopre ora potremmo dire "l'acqua calda", ciò che da tempo viene denunciato, vale a dire che l'Ilva, i governi con i loro commissari straordinari (prima Bondi, poi Gnudi) nulla hanno fatto per il risanamento degli impianti inquinanti e del territorio.
Detto questo, attenzione! Non è che ora la Commissione europea è improvvisamente dalla parte dei lavoratori, degli abitanti dei quartieri che chiedono il principio elementare: "chi inquina, paghi"...
La commissione europea parla in nome degli altri padroni europei dell'acciaio, e attacca lo Stato italiano perchè aiutando l'Ilva scombina le regole della concorrenza del sistema del capitale, droga la situazione dell'Ilva mettendo, quindi, in difficoltà gli altri padroni.
Infine. Che può comportare questo intervento della Ue per i lavoratori e gli abitanti di Taranto? Nulla di buono, se non ancora passi indietro, ritardi, rischi sulla difesa del lavoro e dei salari e sui tempi e modi delle bonifiche.
La sorte degli operai e della popolazione come non può essere difesa dallo Stato, nuovi padroni, e governo italiano; così non può trovare giustizia dalla Commissione europea. Nessuno può e deve alimentare illusioni.
Ilva, entro 15 giorni 5 risposte alla UE
di Mimmo Mazza
TARANTO - L’ultimatum scadrà il 20 novembre... le otto pagine inviate dalla direzione generale per la concorrenza della Commissione europea al Governo italiano lasciano intravedere foschi scenari per l’Ilva di Taranto...
(La commissione) mette in serio dubbio tutta la successione di decreti e provvedimenti che i governi Monti-Letta-Renzi hanno varato negli ultimi due anni per cercare di dare una prospettiva allo stabilimento siderurgico di Taranto, ai suoi 20mila addetti, al settore manifatturiero italiano, pur al cospetto di una perizia che ha definito quell’acciaieria fonte di malattie e morte per operai e cittadini.
Sono cinque i quesiti ai quali la Commissione Europea pretende risposte. Il primo riguarda la situazione finanziaria dell’Ilva. Il Governo Renzi aveva già scritto alla commissione, sostenendo che l’Ilva non poteva essere considerata come una impresa in difficoltà, ma da Bruxelles scrivono che i dati forniti a sostegno di tale tesi sono insufficienti e per dunque si sollecita la consegna di bilanci e documenti riguardanti gli anni 2012-2013-2014. Poi c’è il capitolo della responsabilità ambientale, sul quale la Commissione addirittura chiede una lista dettagliata di tutti i provvedimenti autorizzativi in materia ambientale violati dall’Ilva dal 1996 a oggi, alla luce del principio «chi inquina paga». La commissione chiede atti, sentenze, rinvi a giudizio e tutta la documentazione giudiziaria riguardante lo stabilimento di Taranto, chiedendo inoltre di quale connessione ci sia tra l’inquinamento contestato con sentenza della Cassazione nel 2005 e l’inquinamento attuale. Viene, poi, sollecitata copia del piano industriale dell’Ilva dopo la nomina del commissario Piero Gnudi - piano industriale in realtà ancora non redatto - e una relazione su tutte le azioni prese.
Poi vengono i nodi economici, assai complicati da sciogliere. La Commissione europea, che scrive qualche giorno prima il gip di Milano disponga il trasferimento di un miliardo e 200 milioni di euro sequestrati ai fratelli Riva per frode fiscale nel capitale sociale dell’azienda, contesta la disposizione normativa che lo permette, arrivando a sostenere che «a seguito del trasferimento delle somme, lo Stato italiano diventerà azionista di Ilva»: e quel diventerà, appunto, è stato scritto a trasferimento non ancora autorizzato. A tal proposito, Bruxelles pone due domande a dir poco imbarazzanti: «per quale motivo somme depositate presso un fondo statale e amministrate da un soggetto pubblico (Equitalia giustizia, ndr) non rappresentino risorse statali? E perché il loro trasferimento ad Ilva in ottemperanza ad un atto normativo (il decreto legge Ilva-Terra dei fuochi dell’agosto 2014, ndr) non sia imputabile allo Stato?»
Quindi c’è la questione riguardante il prestito ponte, in due tranche da 125 milioni di euro l’una, contratto dal commissario Gnudi con un pool di banche per garantire il pagamento degli stipendi e dei fornitori. La Commissione europea ritiene infatti che avendo considerato quel prestito prededucibile (ovvero a pagamento prioritario in caso di insolvenza) sia da considerare aiuto di Stato per il rischio che lo Stato ha in termine di potenziale riduzione della possibilità di soddisfacimento di eventuali crediti nei confronti dell’Ilva in caso di fallimento. E a dimostrare il coinvolgimento dello Stato nella pratica del prestito ponte, la Commissione europea cita riunioni svoltesi al ministero dello Sviluppo Economico con gli enti locali per stabilire la priorietà da dare ai pagamenti dei debiti Ilva dopo l’ottenimento dei prestiti ponte.
L’ultimo quesito riguarda l’ambiente. La Commissione europea alla luce del protocollo sottoscritto nell’estate del 2012 tra Governo e enti locali per interventi urgenti di bonifica, ambientalizzazione e riqualificazione, contesta il fatto che tale interventi, fatti per riparare i danni provocati dall’inquinamento prodotto dall’Ilva, siano finanziati dallo Stato. «La Commissione è dell’avviso - si legge nella lettera - che gli interventi di bonifica previsti dal protocollo, sebbene non effettuati sull’area dove insiste lo stabilimento dell’Ilva, sono intesi a bonificare aree adiacenti che risultano altamente inquinate direttamente a causa di Ilva».
pc 7 novembre - Renzi a Milano preso a uova dagli operai... subito dopo va alla cena dei ricchi
All'Alcatel in Brianza Lancio di uova contro le auto, l’arrivo del premier alla nuova sede è stato accolto anche con fischi ed insulti. La ristrutturazione ha comportato esuberi per un ammontare di 586 addetti
di Redazione Milano online
Il presidente del Consiglio Matteo Renzi, arrivato giovedì pomeriggio a Vimercate per visitare la nuova sede di Alcatel-Lucent, è stato accolto dalla contestazione degli. Il premier è passato da un’entrata laterale, mentre le auto del suo staff, arrivate davanti quello principale, sono state fatte oggetto di un lancio di uova da parte dei manifestanti in attesa. L’arrivo delle auto blu davanti all’ingresso della multinazionale delle telecomunicazioni, è stato accolto anche con fischi ed insulti. Davanti alla sede si sono radunanti circa 500 lavoratori . La ristrutturazione di Alcatel Lucent ha comportato esuberi per un ammontare di 586 addetti, la metà circa riallocati con la cessione di un ramo d’azienda e i rimanenti circa 200 posti in cassa integrazione straordinaria fino al prossimo mese di maggio.
Alla cena di Renzi risotto scotto e sbadigli
A Milano professionisti e imprenditori. Hanno pagato 1000 euro per sostenere il Pd
La foto del premier Matteo Renzi alla cena per il finanziamento pubblicata dal suo portavoce Filippo Sensi
Lo spazio si chiama The mall e sta sotto il nuovo quartiere residenziale Porta Nuova a Milano. Il padrone di casa, Manfredi Catella, ad di Hines Italia, sembra soddisfatto che il Pd glielo abbia chiesto: «Finalmente la sinistra si rivolge a mondi diversi da quelli tradizionali». A guardarsi attorno, durante la prima cena di finanziamento del partito di Matteo Renzi, pare di stare più al Rotary che a una tradizionale riunione democratica.
In attesa del discorso del premier una signora lo dice chiaro e tondo: «Sembra la vecchia Dc». In effetti, i giovani sono pochi e le donne pochissime. Avanza il finanziere Guido Roberto Vitale, accompagnato dall’esperta di moda Albertina Marzotto: «Seguo Renzi dalla cena che fece a Milano con Davide Serra e lo sostengo. Per il resto continuo a occuparmi di affari e contribuisco al sito Linkiesta, che verrà presto rilanciato con un nuovo direttore». C’è il presidente di Unipol, Pierluigi Stefanini, bolognese cui non soltanto per il nome vien da domandare: ma lei non stava con Bersani? «Siamo conterranei e amici di vecchia data, ma Renzi è il capo del governo». Allora è renziano? «Sono curioso». Gli altri sono una marea di piccoli e medi imprenditori semisconosciuti: «E’ il popolo del nuovo Pd, ma facciamo ancora fatica a portare i grandi nomi», ammette uno degli organizzatori.
Tra i politici, i ministri Martina e Boschi, il sottosegretario Luca Lotti, Ermete Realacci, Piero Fassino che arriva due ore dopo con la moglie Anna Maria Serafini e Stefano Boeri. Coppia glamour della serata, Carlo Capasa, ad di Costume national, con l’attrice Stefania Rocca: «Ho accompagnato lui, quello su Renzi sarebbe un discorso lungo…». Invitati non paganti, Beatrice Trussardi: «Sono qui per curiosità, non mi esprimo» e Raffaele Jerusalmi, ad di Borsa italiana: «Un’esperienza che non aggiunge molto».
pc 7 novembre - I grillini a Genova confluiscono nei sindacati autonomi di destra e tirano a destra la lotta nell'azienda trasporti - una corrispondenza
Lunedì tre
novembre sera: a Genova - a partire dalle ore 21:00, presso la sala Chiamata del
porto di piazzale San Benigno - si tiene un'assemblea plenaria dei lavoratori
dell'Azienda Mobilità e Trasporti.
La motivazione di questa adunata è quella di concordare azioni per ben contrastare la decisione dei vertici dell'azienda - e dell'amministrazione comunale, proprietario della maggioranza assoluta delle sue azioni - di disdire unilateralmente il contratto integrativo aziendale.
Visto che dalla cancellazione del secondo livello contrattuale deriva, per tutti i lavoratori, una perdita secca di alcune centinaia - si parla di cifre tra i trecento ed i settecento - di Euro ci si aspetterebbe una riunione infuocata che porti ad azioni estreme: magari a qualcosa di simile alle cinque giornate di sciopero vissute nel novembre 2013.
Invece - viene occupata una stanzetta della direzione di via Montaldo 2, e si dichiara che si è disposti a rimanere lì fino al prossimo febbraio, in assenza di proposte di dialogo da parte della controparte.a dirigere .. una proposta modesta e conciliatoria che non raccoglie i bisogni dei lavoratori
I grillini genovesi - tutti confluiti nell'Organizzazione dei Sindacati Autonomi, con la conseguenza di renderla niente di più che una loro succursale - si distinguono; loro sì, faranno questo sciopero: ma, "per non creare t problemi ai cittadini", lo terranno domenica sedici novembre....si vuole danneggiare l'azienda, o piuttosto spaccare il fronte dei lavoratori per meglio fare gli interessi della borghesia e dei padroni?
Genova, 07 novembre 2014
Stefano Ghio - Proletari Comunisti Alessandria/Genova
La motivazione di questa adunata è quella di concordare azioni per ben contrastare la decisione dei vertici dell'azienda - e dell'amministrazione comunale, proprietario della maggioranza assoluta delle sue azioni - di disdire unilateralmente il contratto integrativo aziendale.
Visto che dalla cancellazione del secondo livello contrattuale deriva, per tutti i lavoratori, una perdita secca di alcune centinaia - si parla di cifre tra i trecento ed i settecento - di Euro ci si aspetterebbe una riunione infuocata che porti ad azioni estreme: magari a qualcosa di simile alle cinque giornate di sciopero vissute nel novembre 2013.
Invece - viene occupata una stanzetta della direzione di via Montaldo 2, e si dichiara che si è disposti a rimanere lì fino al prossimo febbraio, in assenza di proposte di dialogo da parte della controparte.a dirigere .. una proposta modesta e conciliatoria che non raccoglie i bisogni dei lavoratori
I grillini genovesi - tutti confluiti nell'Organizzazione dei Sindacati Autonomi, con la conseguenza di renderla niente di più che una loro succursale - si distinguono; loro sì, faranno questo sciopero: ma, "per non creare t problemi ai cittadini", lo terranno domenica sedici novembre....si vuole danneggiare l'azienda, o piuttosto spaccare il fronte dei lavoratori per meglio fare gli interessi della borghesia e dei padroni?
Genova, 07 novembre 2014
Stefano Ghio - Proletari Comunisti Alessandria/Genova
pc 7 novembre - L'Ottobre che verrà
La rivoluzione nella società capitalista è un fiume sotterraneo di cui non si avverte quotidianamente la presenza ma che appena trova delle fessure le allarga ed erompe come una marea
da Pillole comuniste - 2 -
7 novembre 2013
da Pillole comuniste - 2 -
7 novembre 2013
pc 7 Novembre - CASO CUCCHI: L'UNICA GIUSTIZIA E' QUELLA PROLETARIA!
TRIBUNALE DI PALERMO |
pc 7 novembre - Gli antifascisti e antirazzisti a Omegna mettono in ritirata i fascio leghisti
Profughi, due cortei a Omegna e scontri a colpi di slogan
Da un lato Lega Nord e Fratelli d'Italia
contro l'operazione "Mare nostrum", dall'altro il gruppo antifascisti del
Vco
Il corteo di Lega Nord e Fratelli d'Italia
(questo sarebbe un corteo? ah, ah, ah! n.d.r.)
OMEGNA
Manifestazione a colpi di slogan questa sera a Omegna durante il Consiglio
comunale nel corso del quale si sarebbe dovuto discutere un ordine del giorno
presentato dalla Lega Nord e Fratelli d'Italia in merito alla presenza di un
gruppo di stranieri richiedenti asilo in città.
I due partiti hanno organizzato una sfilata dal centro sino al Forum, dove si teneva il Consiglio comunale (in tutto erano una decina), ma ad attenderli c'era un centinaio di giovani di sinistra e del gruppo antifascisti del Vco. con unmponente presenza delle forze dell'ordine dell'ordine a difendere i fascio leghisti
Il Consiglio comunale si è concluso poco dopo le 23 con l'approvazione di un ordine del giorno approvato dalla sola maggioranza e presentato da Alyosha Matella in cui esprime solidarietà alle persone che richiedono asilo politico internazionale.
I due partiti hanno organizzato una sfilata dal centro sino al Forum, dove si teneva il Consiglio comunale (in tutto erano una decina), ma ad attenderli c'era un centinaio di giovani di sinistra e del gruppo antifascisti del Vco. con unmponente presenza delle forze dell'ordine dell'ordine a difendere i fascio leghisti
Il Consiglio comunale si è concluso poco dopo le 23 con l'approvazione di un ordine del giorno approvato dalla sola maggioranza e presentato da Alyosha Matella in cui esprime solidarietà alle persone che richiedono asilo politico internazionale.
pc 7 novembre - Iniziativa antimilitarista a Novara contro gli f 35
NO F-35, provocazione in piazza: un monumento al disertore contro le guerre
L’idea di un gruppo di sostenitori del
Movimento: «Quest’anno cade il centenario della prima guerra mondiale, un secolo
dopo ci sono ancora conflitti ovunque»
Il «monumento al disertore» installato in piazza
delle Erbe a Novara
04/11/2014
novara
L’hanno pensato e poi costruito pezzo dopo pezzo con cartone e cartapesta in
un’abitazione di Novara: domenica pomeriggio in piazza delle Erbe a Novara è
stato svelato e inaugurato il «monumento al disertore». «La realizzazione del
monumento intitolato “evviva il disertore!” - dice il coordinatore del movimento
NO F-35 del novarese Domenico Argirò - è stata corale con la collaborazione di
una decina di sostenitori. Contro tutte le guerre siamo convinti che la
disobbedienza e la diserzione siano le migliori risposte». Un’iniziativa simile è stata portata a termine anche a Torino: «Quest’anno cade il centenario della prima guerra mondiale - dice Argirò -. Un secolo dopo ci ritroviamo in condizioni simili: guerre in Medio Oriente, in Ucraina, in Africa ed in diversi altri luoghi. Ovunque gli interessi economici delle banche e delle grandi industrie producono destabilizzazione a proprio favore: le industrie delle armi per vendere i loro prodotti, le banche per accrescere i profitti derivanti dalle transazioni. Ma anche i governi per acquisire egemonia territoriale, politica ed economica. Di fronte a questa situazione, i lavoratori, i precari, i disoccupati e i pensionati non hanno ovviamente nulla da guadagnare: oltre a pagare i costi della crisi, pagheranno anche con il loro sangue un’eventuale ulteriore estensione dei conflitti in atto».
Il monumento veicola una molteplicità di messaggi: «La figura umana sulla guglia è un generale che tra armi e cannoni manovra come fossero burattini i sottoposti. Più in basso un bambino che rivolge all’ufficiale un gestaccio eloquente. Spazio anche alla poesia con l’incisione dei versi della canzone “Il disertore” di Boris Vian nella versione interpretata da Ivano Fossati». A forza di braccia il monumento domenica è stato portato in corteo nelle vie del centro: «Nelle prossime settimane l’opera d’arte che rende anche omaggio alle migliaia di disertori processati e fucilati negli anni della Prima guerra mondiale - conclude Argirò - inizierà un viaggio nelle principali piazze del Novarese. Sarà presente al convegno del 29 novembre a Venegono Superiore organizzato dal comitato «No M346».
pc 7 novembre - Anniversario della Rivoluzione d'Ottobre... E' ora di cambiare sistema
Proseguendo
lo studio di 1917-2014
“Principi
del leninismo” nell'anniversario della
della
rivoluzione d'Ottobre
E'
ORA DI CAMBIARE SISTEMA
LA
NECESSITÀ OGGI DEL PARTITO
14
novembre ore 20.30
reading-video
viale
Marconi,1 Dalmine
c/o
sede slai cobas s.c.
Organizza:
proletaricomunisti.blogspot.it
pc 7 novembre - Lo sciopero del 14 tra gli operai immigrati della logistica di Brignano
Venerdì 14 novembre 2014 – SCIOPERO GENERALE NAZIONALE per l'intera giornata
CONTRO IL GOVERNO RENZI/POLETTI - PER I NOSTRI DIRITTI
La lotta per cacciare il governo antioperaio e antipopolare di Renzi è una necessità vitale per tutti i lavoratori. Il JOBS ACT, è un insieme di misure che peggiorano la condizione contrattuale dei lavoratori.
• eliminazione di ciò che rimane dell'art.18 e di buona parte dello Statuto dei lavoratori, operazione chiamata 'contratto a tutele crescenti'
• demansionamento con riduzione di paga, video-controllo/controllo a distanza,
• cancellazione dei contratti nazionali, taglio degli ammortizzatori sociali cig/aspi...
Ora i padroni delle cooperative grazie al loro amico ministro del lavoro Poletti, ex dirigente di Confcooperative) potranno esportare al resto del mondo del lavoro, la situazione che si vive nelle cooperative dove i lavoratori sono: precari e quindi ricattabili a vita ad ogni cambio appalto, licenziati per motivi economici che decide il padrone (LDD) e con 200 euro di disoccupazione (aspi), dopo essere stati spremuti come limoni nei magazzini e spesso non pagati il giusto.
MA FORSE TANTI LAVORATORI DI BRIGNANO SI SONO DIMENTICATI CHE IN QUESTO MAGAZZINO ABBIAMO LOTTATO CONTRO TUTTO QUESTO !!!
I lavoratori della KN di Brignano si sono dovuti scontrare con i manganelli della polizia (come gli operai di Terni) perchè le cooperative non volevano riconoscere il sindacato che avevano scelto: lo Slai Cobas.
Grazie a questa vittoria il sindacato è diventato più forte e i lavoratori hanno mantenuto fino ad oggi il loro lavoro, ma anche diritti e dignità come è dimostrato dai numerosi cambi appalto fatti fino ad ora.
Oggi chi pensa che qui va tutto bene e che questo sciopero non lo riguarda, o peggio pensa che facendo sciopero mette a rischio il posto di lavoro, non solo si sbaglia, ma sta dando forza alla cooperativa e quindi si sta mettendo nelle loro mani.
SE IL SINDACATO E' PIU' DEBOLE, SIAMO TUTTI PIU' DEBOLI!
Noi siamo il sindacato dei lavoratori, che vogliono lottare e unirsi agli altri operai delle cooperative logistiche per essere più forti e cambiare questo sistema di precarietà e sfruttamento, per il lavoro e i diritti per tutti.
SLAI COBAS PER IL SINDACATO DI CLASSE via Marconi 1, Dalmine
CONTRO IL GOVERNO RENZI/POLETTI - PER I NOSTRI DIRITTI
La lotta per cacciare il governo antioperaio e antipopolare di Renzi è una necessità vitale per tutti i lavoratori. Il JOBS ACT, è un insieme di misure che peggiorano la condizione contrattuale dei lavoratori.
• eliminazione di ciò che rimane dell'art.18 e di buona parte dello Statuto dei lavoratori, operazione chiamata 'contratto a tutele crescenti'
• demansionamento con riduzione di paga, video-controllo/controllo a distanza,
• cancellazione dei contratti nazionali, taglio degli ammortizzatori sociali cig/aspi...
Ora i padroni delle cooperative grazie al loro amico ministro del lavoro Poletti, ex dirigente di Confcooperative) potranno esportare al resto del mondo del lavoro, la situazione che si vive nelle cooperative dove i lavoratori sono: precari e quindi ricattabili a vita ad ogni cambio appalto, licenziati per motivi economici che decide il padrone (LDD) e con 200 euro di disoccupazione (aspi), dopo essere stati spremuti come limoni nei magazzini e spesso non pagati il giusto.
MA FORSE TANTI LAVORATORI DI BRIGNANO SI SONO DIMENTICATI CHE IN QUESTO MAGAZZINO ABBIAMO LOTTATO CONTRO TUTTO QUESTO !!!
I lavoratori della KN di Brignano si sono dovuti scontrare con i manganelli della polizia (come gli operai di Terni) perchè le cooperative non volevano riconoscere il sindacato che avevano scelto: lo Slai Cobas.
Grazie a questa vittoria il sindacato è diventato più forte e i lavoratori hanno mantenuto fino ad oggi il loro lavoro, ma anche diritti e dignità come è dimostrato dai numerosi cambi appalto fatti fino ad ora.
Oggi chi pensa che qui va tutto bene e che questo sciopero non lo riguarda, o peggio pensa che facendo sciopero mette a rischio il posto di lavoro, non solo si sbaglia, ma sta dando forza alla cooperativa e quindi si sta mettendo nelle loro mani.
SE IL SINDACATO E' PIU' DEBOLE, SIAMO TUTTI PIU' DEBOLI!
Noi siamo il sindacato dei lavoratori, che vogliono lottare e unirsi agli altri operai delle cooperative logistiche per essere più forti e cambiare questo sistema di precarietà e sfruttamento, per il lavoro e i diritti per tutti.
SLAI COBAS PER IL SINDACATO DI CLASSE via Marconi 1, Dalmine
pc 7 novembre - All'Ilva verso lo sciopero del 14 - massiccio volantinaggio
ILVA Taranto – ora tocca agli operai
pretendere un decreto per loro entro Natale, prima che sia troppo
tardi, qualunque sia la soluzione che preparano padroni e governo
ILVA Taranto – ora tocca agli operai pretendere un decreto per loro entro Natale, prima che sia troppo tardi, qualunque sia la soluzione che preparano padroni e governo
14
novembre
manifestazione con
incontro Prefettura ore 9
SLAI
Cobas
per
il sindacato di classe
OGGETTO: PROCLAMAZIONE DI SCIOPERO GENERALE NAZIONALE DEL 14 NOVEMBRE 2014 contro il jobs act, la cancellazione dell'art. 18, e per Taranto per il DECRETO OPERAIO per i lavoratori dell'Ilva.
Lo Slai Cobas per il sindacato di classe, con la presente, nota comunica a codesta Direzione Ilva Spa che nell'ambito della giornata di sciopero nazionale e generale del 14 NOVEMBRE 2014, viene indetto lo sciopero di 24 ore – per i tre turni + normalisti – dalle ore 7 del 14 novembre alle ore 7 del 15 novembre 2014, per tutti i lavoratori dello stabilimento di Taranto.
Lo sciopero, oltre le motivazioni di carattere nazionale – contro il jobs act e la cancellazione dell'art. 18 - per i lavoratori dell'Ilva ha per oggetto:
la richiesta al governo di emanazione di un “DECRETO OPERAIO” CHE STABILISCA:
-tutti
gli operai devono essere impiegati durante la messa a norma degli
impianti,
-nessun
operaio deve andare a casa,
-salari e diritti non si toccano,
-salari e diritti non si toccano,
-la
prima messa a norma è garantire la sicurezza degli operai,
-istituzione di una postazione ispettiva permanente all'interno della fabbrica,
-istituzione di una postazione ispettiva permanente all'interno della fabbrica,
-in
una fabbrica insalubre e nociva come l'Ilva non si può stare e
lavorare per tanti anni ma che 25 anni bastano, con estensione,
quindi, a tutti dei benefici pensionistici,
-la
salute è un diritto intoccabile per operai e cittadini, per cui
servono visite mediche mirate, cure sanitarie gratuiti, ospedale e
strutture d'emergenza, affidate ad Emergency.
Lo
Slai Cobas per il sindacato di classe, con la presente, è a
disposizione per la verifica del minimo di “comandate”, solo ai
fini della salvaguardia impianti e sicurezza dei lavoratori.
Si fa presente che ai sensi dell'art. 28 L. 300/70 nessun lavoratore che aderisca allo sciopero deve subire limitazioni o essere oggetto di interventi disciplinari per aver esercitato questo diritto tutelato da leggi e Costituzione.
Si fa presente che ai sensi dell'art. 28 L. 300/70 nessun lavoratore che aderisca allo sciopero deve subire limitazioni o essere oggetto di interventi disciplinari per aver esercitato questo diritto tutelato da leggi e Costituzione.
SLAI COBAS per il
sindacato di classe
Per i lavoratori che vogliono fare
lo sciopero, esso è regolarmente autorizzato, aperto a tutti i
lavoratori qualunque sia la tessera sindacale ed è stato comunicato
regolarmente all'azienda
con la predetta comunicazione.
ILVA Taranto – ora tocca agli operai pretendere un decreto per loro entro Natale, prima che sia troppo tardi, qualunque sia la soluzione che preparano padroni e governo
pc 7 novembre - Stalin UNA INIZIATIVA 'CULTURALE' INDECENTE - corrispondenze da Genova
Martedì quattro novembre, a Genova, si p tenuta - presso l’Accademia ligure di Scienze e lettere, la presentazione del libro: “Il mito di Stalin nell’Europa orientale”.
La qualità - si fa per dire - del libro la si può tranquillamente rintracciare guardando chi sono i personaggi che presenziano alla giornata: Andrea Ungari, curatore della spazzatura ideata da tale Aldo Cucchi; Franco Monteverde, politicante locale; Silvio Ferrari, scrittore ed ex politicante.
Vediamo chi sono i due personaggi politici in questione, partendo dal ‘signor’ Franco Monteverde: costui - attualmente assessore alla Cultura del Comune di Voltaggio (Al) - è l’ex assessore al Bilancio del Comune di Genova, della Giunta del sindaco socialista Fulvio Cerofolini, già destinatario di un avviso di garanzia, da parte del pretore dell’epoca (successivamente sindaco) Adriano Sansa, nell’ambito di un’inchiesta riguardante le allora Unità Sanitarie Locali.
E’ stato presidente della Fondazione Gramsci genovese, ma questo non significa nulla; dallo scioglimento del partito revisionista, tale ente è finito nelle mani del peggio di quello che restava della sua identità: dal Partito Democratico della Sinistra, ai Democratici di Sinistra, all’odierno Partito (sedicente) Democratico.
Silvio Ferrari, invece, è stato esponente - anche istituzionale, sia in qualità di consigliere comunale, sia di consigliere provinciale, sia di assessore comunale alla Cultura - del partito revisionista dal 1964 alla sua fine, per poi continuare la sua carriera politica nel Partito Democratico della Sinistra fino al 1998.
Attualmente è professore universitario in pensione, non ha più incarichi nelle istituzioni, ma non si è certo ritirato a vita privata: è stato, ed è tutt’ora, tra i più importanti sostenitori dell’attuale primo cittadino genovese, il Markese Doria.
Con queste credenziali da parte dei relatori, non c’è certo bisogno di presenziare a certe iniziative per comprendere il carattere schifosamente revisionista ed anticomunista dello scritto.
Genova, 06 novembre 2014
Stefano Ghio - Proletari Comunisti Alessandria/Genova
Ancora un libro contro Stalin in un quadro di propaganda antirussa non casuale , visto che la Repubblica Italiana stà facendo una guerra di sanzioni alla Russia per non voler dividere l'Ucraina in due, mentre della Yugoslavia si è fatto lo spezzatino(Per me una politica USA di destabilizzazione europea) ,si afferma candidamente alla radio nell'ambito della ricorrenza dell'inizio della Grande Guerra che le donne del battaglione della morte che difendevano nel 17 il Palazzo d'inverno sono state violentate e poi ammazzate tutte dai bolscevichi ,cosa assolutamete falsa, inoltre poco tempo fa è morto vecchissimo il Tenente -generale dell'armata rossa il pluridecorato Kalasnicov, inventore dell'omonimo fucile mitragliatore, figlio di ex contadini ricchi (Kulaki) deportati in siberia e lì agricoltori che il famoso Libro nero del comunismo da tutti per sterminati....noi " non gettiamo Stalin con l'acqua sporca", mentre ne riconosciamo, assieme agli altri compagni a tutta la classe lavoratrice sovietica il grande merito di aver realizzato un sistema socialista mai visto prima nel mondo, possiamo ben dire che certo errori ne sono stati fatti ,ma il bilancio è nettamente positivo, e le critiche avvelenate a sinistra di chi ha solo fatto errori di connivenza col nemico ci lasciano molto tranquilli, d'altronde la stessa storiografia borghese seria ammette che "ll giudizio storico su Stalin è ancora da dare..."
walter gaggero
La qualità - si fa per dire - del libro la si può tranquillamente rintracciare guardando chi sono i personaggi che presenziano alla giornata: Andrea Ungari, curatore della spazzatura ideata da tale Aldo Cucchi; Franco Monteverde, politicante locale; Silvio Ferrari, scrittore ed ex politicante.
Vediamo chi sono i due personaggi politici in questione, partendo dal ‘signor’ Franco Monteverde: costui - attualmente assessore alla Cultura del Comune di Voltaggio (Al) - è l’ex assessore al Bilancio del Comune di Genova, della Giunta del sindaco socialista Fulvio Cerofolini, già destinatario di un avviso di garanzia, da parte del pretore dell’epoca (successivamente sindaco) Adriano Sansa, nell’ambito di un’inchiesta riguardante le allora Unità Sanitarie Locali.
E’ stato presidente della Fondazione Gramsci genovese, ma questo non significa nulla; dallo scioglimento del partito revisionista, tale ente è finito nelle mani del peggio di quello che restava della sua identità: dal Partito Democratico della Sinistra, ai Democratici di Sinistra, all’odierno Partito (sedicente) Democratico.
Silvio Ferrari, invece, è stato esponente - anche istituzionale, sia in qualità di consigliere comunale, sia di consigliere provinciale, sia di assessore comunale alla Cultura - del partito revisionista dal 1964 alla sua fine, per poi continuare la sua carriera politica nel Partito Democratico della Sinistra fino al 1998.
Attualmente è professore universitario in pensione, non ha più incarichi nelle istituzioni, ma non si è certo ritirato a vita privata: è stato, ed è tutt’ora, tra i più importanti sostenitori dell’attuale primo cittadino genovese, il Markese Doria.
Con queste credenziali da parte dei relatori, non c’è certo bisogno di presenziare a certe iniziative per comprendere il carattere schifosamente revisionista ed anticomunista dello scritto.
Genova, 06 novembre 2014
Stefano Ghio - Proletari Comunisti Alessandria/Genova
Ancora un libro contro Stalin in un quadro di propaganda antirussa non casuale , visto che la Repubblica Italiana stà facendo una guerra di sanzioni alla Russia per non voler dividere l'Ucraina in due, mentre della Yugoslavia si è fatto lo spezzatino(Per me una politica USA di destabilizzazione europea) ,si afferma candidamente alla radio nell'ambito della ricorrenza dell'inizio della Grande Guerra che le donne del battaglione della morte che difendevano nel 17 il Palazzo d'inverno sono state violentate e poi ammazzate tutte dai bolscevichi ,cosa assolutamete falsa, inoltre poco tempo fa è morto vecchissimo il Tenente -generale dell'armata rossa il pluridecorato Kalasnicov, inventore dell'omonimo fucile mitragliatore, figlio di ex contadini ricchi (Kulaki) deportati in siberia e lì agricoltori che il famoso Libro nero del comunismo da tutti per sterminati....noi " non gettiamo Stalin con l'acqua sporca", mentre ne riconosciamo, assieme agli altri compagni a tutta la classe lavoratrice sovietica il grande merito di aver realizzato un sistema socialista mai visto prima nel mondo, possiamo ben dire che certo errori ne sono stati fatti ,ma il bilancio è nettamente positivo, e le critiche avvelenate a sinistra di chi ha solo fatto errori di connivenza col nemico ci lasciano molto tranquilli, d'altronde la stessa storiografia borghese seria ammette che "ll giudizio storico su Stalin è ancora da dare..."
walter gaggero
pc 7 novembre - Sul definirsi "comunista"
"sono comunista" è una frase che trabocca da molte "pentole"!
Tanti, troppi, sono i gruppi - i movimenti - le persone che se ne riempiono la bocca.
La maggior parte di questi non ha mai messo il naso fuori dalla sua finestra e quando l'ha fatto è stato solo per esternare la sua visione riformista e revisionista della società.
Essere comunisti è tutt'altra cosa!
Senza il partito, senza vivere per costruirlo giorno per giorno, pezzo per pezzo, non è giusto definirsi comunisti
e meno che mai comunisti rivoluzionari.
da Pillole comuniste 1 - 21/07/2013
giovedì 6 novembre 2014
pc 6 novembre - per l'autonomia ideologica, politica del proletariato
E' difficile in fasi in cui la borghesia e l'opportunismo hanno un pieno dominio ideologico, politico e organizzativo e le masse popolari appaiono accettarlo o si rivolgono ai demagoghi e ciarlatani, tenere ferma e solida la posizione ideologica e politica dei comunisti e battersi coerentemente per l'autonomia ideologica, politica del proletariato.
Ma solo essa è garanzia di tenuta e di un futuro possibile e quindi solo essa va preservata con orgoglio e forza.
pillole comuniste 4.5.2013
Ma solo essa è garanzia di tenuta e di un futuro possibile e quindi solo essa va preservata con orgoglio e forza.
pillole comuniste 4.5.2013
pc 6 novembre- ....e grossa manifestazione in Belgio contro il governo Michel-De Wever, un governo senza legittimità ... se non per servire gli azionisti e i ricchi. Scontri con la polizia in assetto antisommossa che ha sparato gas lacrimogeni e idranti
In piazza grandi delegazioni di operai delle grandi aziende del paese: Audi, NLMK, Van Hool, DAF, Delhaize ... Ma ci sono stati anche molti lavoratori delle imprese più piccole e il settore pubblico, gli insegnanti, gli studenti e i lavoratori dei trasporti pubblici.
Più di 120.000 lavoratori, fiamminghi, valloni e di Bruxelles, dipendenti di aziende pubbliche e private, ma anche giovani, studenti, attori e attivisti della cultura associativa o destinatari di assistenza sociale hanno marciato insieme per le strade di Bruxelles per dire di no al contro la riforma del lavoro proposta dal governo del premier belga Charles Michel, del Movimento Riformatore. Le misure di austerità, che prevedono l’estensione dell’età pensionabile, il congelamento del legame automatico fra stipendi e inflazione e un taglio ai servizi pubblici, sono necessarie secondo il governo per mantenere il deficit di bilancio entro i parametri previsti dall’Ue. La marcia, partita dalla Gare du Nord, apre una campagna di un mese contro la coalizione di governo che avrà il suo apice il 15 dicembre con uno sciopero generale.
«120.000 persone sono i portavoce di centinaia di migliaia di altre persone che esprimono la loro opposizione al governo. Si tratta di un’ondata di tutti i settori della società che si rifiutano il Society Project del Team Michael-De Wever». E’ il più grande evento sindacale e civico da quasi 20 anni. «Un giorno storico per il mondo del lavoro», ha detto il presidente del Ptb, Peter Mertens chiedendo il ritiro del piano De Wever. Altrimenti si provocherà un dramma sociale. Il Belgio ha mai prodotto tanta ricchezza di oggi. Lo scandalo dei #LuxLeaks dimostra come i ricchi traggano benefici dalla generosità del sistema fiscale.
pc 6 novembre - Scontri tra anticapitalisti e polizia a Londra...
Marcia di Anonymous, scontri a Londra
Anticapitalisti in piazza nel giorno dedicato a Guy Fawkes
Scontri tra polizia e migliaia di manifestanti anticapitalisti in protesta al grido "rivoluzione" sono scoppiati ieri sera nel centro di Londra, vicino Buckingham Palace. I manifestanti facevano parte della 'Marcia di milioni di maschere' organizzata in diverse città del mondo da parte di Anonymous. La manifestazione ha avuto luogo nel Guy Fawkes day, in memoria del ribelle cattolico che voleva far saltare in aria il Parlamento di re Giacomo I nel 1605, citato anche nel film 'V per vendetta'.
pc 6 novembre - Il sindacato che piace a Beppe Grillo è quello di polizia
Altro che opposizione, ormai in Parlamento tutti fanno a gara a chi è il più fascista
— Giuliano Santoro, il manifesto 4.11.2014
Movimento 5 Stelle. Di Maio e gli altri grillini ribadiscono la linea: «Gli uomini in divisa hanno avuto e avranno sempre il nostro sostegno». Suscitando, si suppone, l’imbarazzo di deputati come Marco Scibona, che funge nei piani grillini da ufficiale di collegamento tra i 5 Stelle e i No Tav della Val Susa
Beppe Grillo dimostra diffidenza verso le organizzazioni dei lavoratori ma non nasconde sensibilità per le ragioni dei sindacatini di polizia più corporativi. È successo ancora due giorni fa, quando dal blog Beppegrillo.it ha trovato il modo di affrontare le botte ai lavoratori dell’Ast di Terni prendendosela coi metalmeccanici e alludendo al fatto che la Fiom avrebbe contrapposto artificiosamente cittadini in divisa e cittadini in tuta blu allo scopo di gettare benzina sul fuoco della “guerra tra poveri”. «Chi ha organizzato il corteo non poteva non sapere che la deviazione del percorso non era consentita», premette una nota redazionale che introduce l’intervista a Igor Gelarda, della segreteria nazionale del sindacato di polizia Consap. «I sindacalisti della Fiom dovrebbero ben sapere che se cerchi di uscire dalla zona che ti è stata data entrerai in contatto con la polizia», tuona Gelarda dalla gettonatissima tribuna digitale del Movimento 5 stelle. Poche ore prima, un ipotetico stress test sul rapporto tra opinione pubblica e forze dell’ordine avrebbe segnato un altro punto di crisi: le agenzie battono la notizia delle assoluzioni in appello per la morte di Stefano Cucchi.
Il M5S non manca di solidarizzare con le forze di polizia: sui profili Fb dei parlamentari del cerchio magico si manifesta «rispetto» per la «sentenza Cucchi» e per il «dolore della famiglia». Tuttavia, pur esprimendo imbarazzo per le prese di posizione di «alcuni sindacalisti» Di Maio e gli altri grillini ribadiscono la linea: «Gli uomini in divisa hanno avuto e avranno sempre il nostro sostegno». Suscitando, si suppone, l’imbarazzo di deputati come Marco Scibona, che funge nei piani grillini da ufficiale di collegamento tra i 5 Stelle e i No Tav della Val Susa e che ha depositato un progetto di legge per il codice identificativo obbligatorio sulla divisa.
Qualche settimana prima, esponenti di sindacati di polizia sono la fonte primaria cui Grillo e i suoi si appigliano per diffondere e amplificare il supposto «allarme Ebola» causato dagli sbarchi dei migranti. In precedenza, i consiglieri municipali M5S di Roma votano un odg per chiedere che alle grandi manifestazioni venga impedito di passare per il centro della città. E in pochi sanno che quando Napolitano viene rieletto al Quirinale e Grillo chiama gli italiania protestare davanti alla Camera, decide di spegnere la piazza sul nascere quando gli uomini della Digos spiegano ai suoi ragazzi che rischiano di non trovarsi davanti la platea di uno spettacolo di cabaret. «Non si preoccupi, li teniamo buoni noi», dice ai dirigenti di piazza Vito Crimi, calandosi il cappello da pompiere.
Il fatto è che i cortei servono anche e soprattutto a segnare un confine simbolico e materiale tra il «noi» e il «loro». Quel confine rompe lo schema principale della retorica pentastellata che vorrebbe i cittadini tutti, al di là di classi e blocchi sociali, uniti contro i «politici». È un’immagine impossibile da fagocitare dall’idrovora-Grillo. Già due anni or sono, quando i book-bloc degli studenti vengono pestati dalla polizia a Roma, Grillo invita all’unità i giovani precari e i robocop col manganello. Successivamente, non manca di dare spazio a esponenti del Sap (il sindacato di polizia che ha insultato la memoria di Cucchi). Un anno più tardi, a Torino, si verifica l’evento che marca l’identità di quello che la stampa chiama «movimento dei forconi».
È una scena che viene evocata per inverare l’insorgere di una comunità nazionale, interclassista e post-ideologica: le forze dell’ordine si tolgono i caschi tra gli applausi dei manifestanti. Soldati e poliziotti diventano, nell’inconscio profondo del paese che condivide slogan e filmati nei social network, l’alleato indispensabile contro la Casta che affama «gli italiani». Addirittura, uno dei leader della protesta chiede che il governo venga sostituito da una giunta militare. Grillo si accoda con disinvolta enfasi e scrive ai vertici di polizia, carabinieri ed esercito: «Gli italiani sono dalla vostra parte, unitevi a loro».
— Giuliano Santoro, il manifesto 4.11.2014
Movimento 5 Stelle. Di Maio e gli altri grillini ribadiscono la linea: «Gli uomini in divisa hanno avuto e avranno sempre il nostro sostegno». Suscitando, si suppone, l’imbarazzo di deputati come Marco Scibona, che funge nei piani grillini da ufficiale di collegamento tra i 5 Stelle e i No Tav della Val Susa
Beppe Grillo dimostra diffidenza verso le organizzazioni dei lavoratori ma non nasconde sensibilità per le ragioni dei sindacatini di polizia più corporativi. È successo ancora due giorni fa, quando dal blog Beppegrillo.it ha trovato il modo di affrontare le botte ai lavoratori dell’Ast di Terni prendendosela coi metalmeccanici e alludendo al fatto che la Fiom avrebbe contrapposto artificiosamente cittadini in divisa e cittadini in tuta blu allo scopo di gettare benzina sul fuoco della “guerra tra poveri”. «Chi ha organizzato il corteo non poteva non sapere che la deviazione del percorso non era consentita», premette una nota redazionale che introduce l’intervista a Igor Gelarda, della segreteria nazionale del sindacato di polizia Consap. «I sindacalisti della Fiom dovrebbero ben sapere che se cerchi di uscire dalla zona che ti è stata data entrerai in contatto con la polizia», tuona Gelarda dalla gettonatissima tribuna digitale del Movimento 5 stelle. Poche ore prima, un ipotetico stress test sul rapporto tra opinione pubblica e forze dell’ordine avrebbe segnato un altro punto di crisi: le agenzie battono la notizia delle assoluzioni in appello per la morte di Stefano Cucchi.
Il M5S non manca di solidarizzare con le forze di polizia: sui profili Fb dei parlamentari del cerchio magico si manifesta «rispetto» per la «sentenza Cucchi» e per il «dolore della famiglia». Tuttavia, pur esprimendo imbarazzo per le prese di posizione di «alcuni sindacalisti» Di Maio e gli altri grillini ribadiscono la linea: «Gli uomini in divisa hanno avuto e avranno sempre il nostro sostegno». Suscitando, si suppone, l’imbarazzo di deputati come Marco Scibona, che funge nei piani grillini da ufficiale di collegamento tra i 5 Stelle e i No Tav della Val Susa e che ha depositato un progetto di legge per il codice identificativo obbligatorio sulla divisa.
Qualche settimana prima, esponenti di sindacati di polizia sono la fonte primaria cui Grillo e i suoi si appigliano per diffondere e amplificare il supposto «allarme Ebola» causato dagli sbarchi dei migranti. In precedenza, i consiglieri municipali M5S di Roma votano un odg per chiedere che alle grandi manifestazioni venga impedito di passare per il centro della città. E in pochi sanno che quando Napolitano viene rieletto al Quirinale e Grillo chiama gli italiania protestare davanti alla Camera, decide di spegnere la piazza sul nascere quando gli uomini della Digos spiegano ai suoi ragazzi che rischiano di non trovarsi davanti la platea di uno spettacolo di cabaret. «Non si preoccupi, li teniamo buoni noi», dice ai dirigenti di piazza Vito Crimi, calandosi il cappello da pompiere.
Il fatto è che i cortei servono anche e soprattutto a segnare un confine simbolico e materiale tra il «noi» e il «loro». Quel confine rompe lo schema principale della retorica pentastellata che vorrebbe i cittadini tutti, al di là di classi e blocchi sociali, uniti contro i «politici». È un’immagine impossibile da fagocitare dall’idrovora-Grillo. Già due anni or sono, quando i book-bloc degli studenti vengono pestati dalla polizia a Roma, Grillo invita all’unità i giovani precari e i robocop col manganello. Successivamente, non manca di dare spazio a esponenti del Sap (il sindacato di polizia che ha insultato la memoria di Cucchi). Un anno più tardi, a Torino, si verifica l’evento che marca l’identità di quello che la stampa chiama «movimento dei forconi».
È una scena che viene evocata per inverare l’insorgere di una comunità nazionale, interclassista e post-ideologica: le forze dell’ordine si tolgono i caschi tra gli applausi dei manifestanti. Soldati e poliziotti diventano, nell’inconscio profondo del paese che condivide slogan e filmati nei social network, l’alleato indispensabile contro la Casta che affama «gli italiani». Addirittura, uno dei leader della protesta chiede che il governo venga sostituito da una giunta militare. Grillo si accoda con disinvolta enfasi e scrive ai vertici di polizia, carabinieri ed esercito: «Gli italiani sono dalla vostra parte, unitevi a loro».
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