sabato 30 marzo 2019

pc 30 marzo - Gilets jaunes - atto 20° - Pesa la repressione, i divieti, la militarizzazione, ma le manifestazioni non si fermano


27 arresti  

2000 persone in piazza a Parigi nonostante i divieti
Il corteo è stato pacifico circondato, assediato molestato dalla polizia
i gilets jaunes tengono duro sulle rivendicazioni 
le RIC [référendum d’initiative citoyenne], le pouvoir d’achat, les retraites ». « Le carburant avait baissé au début des manifs, et là il a remonté encore plus haut, donc ils se foutent de nous », a dit à l’AFP cette résidente des Hauts-de-Seine, cadre dans l’événementiel.

NO alla dittatura

A Avignon, où toute manifestation de « gilets jaunes » était interdite samedi à l’intérieur de la ville et hors des remparts, une centaine de manifestants, en majorité des femmes, se sont rassemblés vers midi non loin du Palais des papes. « Non à la dictature, on a le droit de manifester, on est en France », criaient-ils.
a Bordeaux non è stata tranquilla . Du matériel de chantier et des tuyaux en caoutchouc ont été incendiés en centre-ville. Les forces de l’ordre ont effectué plusieurs charges alors que des manifestants lançaient divers projectiles.  En fin d’après-midi, le cortège, où se mêlaient des dizaines de « black blocs », se diluait en petits groupes jouant au chat et à la souris avec les forces de l’ordre. Plusieurs milliers de « gilets jaunes » s’étaient rassemblés à Bordeaux pour cet acte XX, où la mobilisation dans ce bastion du mouvement a repris de la vigueur.

Deux policiers ont été légèrement blessés à Montpellier par des jets de projectiles, lors d’une
manifestation qui a rassemblé 1 650 personnes, selon la préfecture. L’un des policiers a été blessé à la jambe et pris en charge par les pompiers, l’autre a été atteint au visage, a précisé la préfecture. Huit personnes « visant à créer des troubles à l’ordre public ont été interpellées », selon la préfecture. Trois ont été relâchées.
Dans le centre de Toulouse, plusieurs centaines de personnes étaient présentes au départ de la manifestation. La préfecture de la Haute-Garonne a renouvelé son interdiction de manifester place du Capitole.
Plusieurs centaines de manifestants ont défié les forces de police à Nice devant leur commissariat, après qu’une manifestante septuagénaire, Geneviève Legay, a été grièvement blessée la semaine dernière au cours d’un rassemblement interdit. Ils y ont demandé que le commissaire responsable des opérations la semaine dernière aille « en prison ». La confrontation avec les forces de l’ordre a duré de longues minutes mais n’a donné lieu à aucun incident.

Dans un communiqué, le maire de Nice Christian Estrosi réclame « un état d’urgence pour les policiers et les gendarmes ». « Je tire le signal d’alarme : les forces de l’ordre sont au bord de l’épuisement et risquent de faire jouer légitimement leur droit de retrait. Je demande au gouvernement et au ministre de l’intérieur de décréter un état d’urgence pour les policiers et les gendarmes et de réunir, au plus vite, l’ensemble des syndicats et des interlocuteurs ».
Entre plus d’un millier de « gilets jaunes », selon une source policière, et 2 000, selon les organisateurs, ont défilé à Lille. A la suite des « violences » et « dégradations » intervenues la semaine dernière, la préfecture avait pris dans la matinée un arrêté interdisant les rassemblements dans plusieurs rues du centre-ville. Après un rapide débat, les manifestants ont décidé de respecter le « parcours alternatif » autorisé, traversant notamment les secteurs de Wazemmes, Montebello et Cormontaigne.
Des accrochages ont éclaté à plusieurs reprises, les forces de l’ordre faisant parfois usage de gaz lacrymogène, notamment après qu’un groupe de « black blocs », vêtus de noir et cagoulés, a aspergé de peinture la devanture d’une banque. Quatre personnes ont elles été interpellées à la suite d’un « incident entre des gilets jaunes et des supporters de football », selon la préfecture du Nord.

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